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Photo sous la pluie : comment protéger son appareil ?


La galère de prendre une photo sous la pluie.

Grosse pluie sur Bordeaux et déclenchement par réflexe

Table des matières

Il pleut, il mouille, c’est la fête à la grenouille !

Les journées sont longues et froides.

C’est l’hiver et la photo sous la pluie n’est pas aisée.
Aucune envie de quitter son canapé avec son plaid bien chaud.
Pourtant, les mois du début de l’année sont particulièrement propices pour prendre quelques photos de rue.
Les nuages comblent et donnent du relief au ciel.
Les lumières sont plus rasantes et proposent des ombres spectaculaires.
Les habitants se blottissent dans leurs manteaux, se protègent comme ils le peuvent derrière un parapluie utilisé à la manière d’un bouclier.
La nuit tombe rapidement. Elle offre à nos objectifs des silhouettes se détachant des vitrines allumées.
Par chance, l’averse fait bon ménage avec l’éclairage du soir et impressionne beaucoup mieux les capteurs avec une vitesse un peu lente. De petits traits bien rectilignes rayent nos images avec souvent un bel effet.
Lorsque la pluie s’éloigne, le ciel nettoyé donne naissance à une lumière particulièrement pure. Un régal si l’on dégote un sujet.

Et avec tout ça, je demeure à la maison à contempler et briquer mon boitier !

Je ne peux que rêver aux scènes que j’aurais pu prendre.
À quoi bon faire de la photo de rue et s’intéresser à ses contemporains uniquement si le ciel est bleu ?
À quoi bon posséder un appareil à 1500 €, pour qu’il reste bien sagement sur une étagère car je ne fais pas une photo sous la pluie?
Et moi, je suis devant Netflix qui enchaine les épisodes de séries sans que je ne fasse rien.

Tout cela parce que j’ai peur d’abimer mon matériel.

Vu le prix des boitiers et de l’affection qu’on leur porte (j’aime mes boitiers, je ne pourrais pas m’en séparer), les regarder sous un grain orageux, trempé, avec de l’eau dégoulinant sur l’écran.

Ça me brise le cœur…

Fait c… !

La notice ou les sites des constructeurs d’appareils savent sortir le parapluie !

Ils prennent des précautions juridiques et avertissent sur les dangers de l’eau, des cristaux liquides et autres risques électriques avec les piles.
Aucun secours à attendre de ce côté pour un conseil avisé.

 

Des photographes arrivent bien à avancer et à shooter alors que les averses sévissent.

Des clichés d’actualités, de foot sont pris sous des crachins comme des giboulées.

Alors pourquoi pas des photos de rue ?
Comment sortir et éviter une panne pour son matériel ?

100 fois sur le métier remets ton ouvrage !

Vous êtes planté dans votre canapé au lieu de photographier.

À moins de faire une analyse poussée des techniques de cadrage d’un film de Bruce Willis, vous perdez votre temps !

C’est un choix, c’est agréable mais cela freine votre progression.

Vos 10,000 premières photos sont les pires – Henri Cartier-Bresson

Si HCB le dit !

Il a certainement lu la règle des 10 000 heures que j’ai découverte sur l’excellent blog de Genaro Bardy.

Je n’ai pas consulté le bouquin. Je suis curieux de le parcourir sous l’angle de la causalité vs corrélation.

Toujours est-il qu’à première vue cela correspond à ce que tout le monde voit et connaît.

Le talent existe, un peu, beaucoup.

Mais il n’est rien, sans un travail acharné !

Picasso, Van Gogh, Gaugain, Monet, Degas… ont consacré leurs vies à leur art.
HCB, Capa, Chim se sont partagé la planète pour nous rapporter des tonnes de planches contacts.

Beethoven créait toujours alors que son audition l’abandonnait.

Un point commun émerge de tous ses artistes qui ont marqué l’histoire.
Ils avaient tous du talent.

Mais tous œuvraient constamment, de manière acharnée, sans repos, à essayer, innover, refaire, finaliser et à peine terminer, à recommencer.

Et pendant ce temps là, nous restons dans notre canapé.

Pas de doute,

Qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il fasse un grand soleil, la vie est dans la rue !

J’y ai passé beaucoup de temps.

Lorsque j’ai commencé à bosser, je travaillais en 3X8. Les matinées débutant à 4 h 30 et se terminant à 12 h 30 étaient terribles.

Je rentrais et je faisais une sieste jusque 20 h.
Ensuite, impossible de dormir.
J’étais dans un cercle vicieux.

Donc pour éviter la sieste, je me promenais avec mon appareil photo dans les ruelles du Paris retraversé de Jean Mounic et des mystères de Paris de Léo Malet. Ainsi, je rentrais en fin d’après-midi pour me coucher vers 19 h.

 

Si l’on désire s’améliorer, la rue, quel que soit le temps, doit être notre chevalet.

Les solutions pour des photos sous la pluie.

Le Net regorge d’articles et de billet sur le sujet mais avec toujours les mêmes propositions :

Les manchons ou sacs en plastique avec un trou pour laisser passer l’objectif sont systématiquement proposés.

Plus étonnant est le chapeau parapluie, mais j’avoue ne jamais avoir vu quelqu’un avec cet engin sur la tête.

Ensuite, les articles dérivent quelques fois vers les sacs photos étanches, le Pancho ou les autres vêtements de protection lors de photos sous la pluie.

 

Pour le parapluie, si sa capacité à protéger est reconnue. Il est systématiquement rejeté au motif qu’il ne laisse pas de mains libres. Comment réaliser les réglages ?

Son utilisation n’est envisagée que lorsque l’on utilise un pied photo. En effet dans ce cas une main est libre pour manipuler les vitesses, menus et autres bagues.

Je n’ai pas testé tous ces conseils mais il me semble bon de les confronter avec ma pratique de la Street Photography avant de vous expliquer comment je fais.

 

On y va ?

Le machin que je n’achèterais pas

Chapeau parapluie une solution pour la photo sous la pluie ?

 

Chapeau parapluie

Le chapeau parapluie !
On trouve de tout sur Amazon !

Peut-on l’utiliser ?

Je n’ai pas testé…

Mais…

Lorsque l’on porte un parapluie, il est courant de l’orienter pour se protéger.

Lorsque l’averse est poussée par un petit vent, on penche le pébroc un peu vers la provenance de l’ondée.
Idem avec un pas un peu rapide, on comprend très vite que le positionner en avant permet de garder un peu le pantalon et les chaussures au sec.

Avec ce chapeau, la tête va devoir s’incliner dans tous les sens avec une efficacité assez limitée.

Et pour finir, à force de se coucher, il va devenir compliqué de voir la route et d’éviter le mobilier urbain.

Vu que son efficacité semble limitée, je vais faire rapide sur les possibilités en photo de rue.

Je vais être franc. J’essaie de ne pas attirer l’attention excessivement lorsque je photographie.

Je ne me cache pas pour shooter.

Mais j’évite d’être le centre d’intérêt de tous les street photographers du coin, je n’y tiens pas.

 

Son affaire est réglée !

C’est le pied

Je n’utilise jamais de pied photo lorsque je suis dans la rue.

D’abord parce que c’est lourd.

Ensuite, si j’ai besoin d’un appui pour une vitesse lente, j’emploie un soutien quelconque : mur, rambarde, poteau… ça ne manque pas.

Puis, parce que je ne fais pas ce genre de cliché. Je passe mon temps à avancer, chercher, et essayer de capter des moments fugitifs.

Peut-être qu’en fishing, le pied-photo peut se révéler utile.

Je pense aux célèbres épreuves de Titarenko.

Alexey Titarenko

 

Alexey Titarenko

Il travaille au 6X6 et charrie un lourd pied photo. Dans ce genre de photo, le parapluie est envisageable.

Si vous êtes dans cette démarche, un parapluie en plus ou en moins avec le pied photo ne fera pas beaucoup de différence.

Le manchon pour ne pas être manchot

J’ai failli en acheter un !

Manchon protection pluie.

 

Manchon protection pluie.

Le seul petit souci est que j’utilise de tout petits appareils.

J’aime voyager léger !

Mes boitiers ont des objectifs très plats et je devrais plutôt me diriger vers ce genre de produit.

Protection pluie pour compact

 

Protection pluie pour compact

Il semble un peu petit pour mon Fuji X100F (13X7, 5X 6,5)

J’ai donc essayé le sur mesure !

Et pas cher !!

Vous pouvez le confectionner rapidement avec un sac congélation, un élastique et une paire de ciseaux.

 

Lorsque je suis allé en Russie en hiver, deux ou trois sacs attendaient dans mes poches au cas ou…
L’idée était de parer aux risques d’humidité et de condensation lorsque l’on passe de basses températures à une salle de bistrot à 20 °C.

-15 °C et un peu de neige n’ont pas été suffisants pour que fasse un montage quelconque.

Si je ne l’ai jamais utilisée mais j’ai gardé l’idée.

Ce n’est pas cher, ni lourd, ni encombrant et cela peut aider en cas de mousson.
À Bordeaux, si les grains sont fréquents, je n’en vois pas l’utilité pour l’instant.

 

Ne rien faire.

 

Voilà une réaction qui me correspond bien.

Le système et le matériel utilisés depuis de 

nombreuses années sont basés sur la légèreté et la simplicité.

Un boitier discret et un objectif « pancake » occupent ma poche de veste ou partagent l’espace de ma besace avec l’ordinateur du bureau ou mes papiers.

Ils sont toujours avec moi.

Lors de mes sorties, j’ai mon boitier sécurisé par une dragonne.

Un petit crachin s’invite ?

Je cache mon boitier avec ma main.

L’objectif contre ma paume, je présente à la pluie le dos de ma main.

Le crachin devient maintenant une ondée ou une averse ?

Sans ôter la dragonne, je rentre ma main et mon Fuji ou mon Leica dans ma poche.

Bien protégé, je reste actif pour une éventuelle photo.

 

Pour l’instant, les quelques gouttes sur l’appareil ne lui ont pas fait rejoindre le paradis des appareils photo

J’imagine que si j’utilisais une bandoulière, je cacherais mon boitier dans mon vêtement (un peu comme ma poche). La solution pour la photo sous la pluie est très proche.

 

Un vrai grain de marin.

 

Le vent monte.
Un front froid débarque.
La pluie devient particulièrement agressive.

Là, ça craint un max !

 

D’abord pour moi car j’ai horreur d’être mouillé.
Ensuite pour le matos, je ne suis pas Crésus.

Commençons par ma petite personne.
J’ai abandonné l’idée du poncho pourtant super pratique pour la pratique du vélo.
Je suis un peu coquet tout de même…

 

Mais l’idée est intéressante pour qui veut photographier sous un déluge.
De plus, le style éloigné du kaki et vert randonnée est sympa.

 

 

Il faut, tout de même, se méfier de l’effet sauna…

J’utilise plutôt un parapluie.

Grand ou mini et pliant, il est de la sortie lorsque le ciel s’obscurcit.

 

Pas de transpiration due à un vêtement de type Kway ou poncho, je l’oriente suivant la venue de l’eau et il me protège des rafales.
Le désavantage présenté comme rédhibitoire par la totalité des sites et qu’il occupe une main !

 

Je souscrivais à cet avis jusqu’au jour ou j’ai regardé une vidéo sur YouTube de photo sous la pluie.

Samuel Lintaro Hopf est un Youtuber allemand utilisant des Ricoh GR, mais aussi des Fuji X100 ou des Leica.

 

Je vous laisse regarder comme il se débrouille avec son pébroc !

 

Donc, contrairement à ce qui est annoncé par la presque totalité des blogs photo, il est tout à fait possible de faire de la photo de rue avec un parapluie dans une main !

Vous me connaissez maintenant, je n’ai pas pu m’empêcher de tester !

Tout joue en ma faveur :

  • un seul boitier
  • Il peut fonctionner juste en poussant un bouton. Idem, pour mon argentique, car je l’utilise en hyperfocale ou préréglage.
  • Il n’est pas lourd
  • Mon Fuji ou mon Leica CL (vieille version) sont bien équilibrés.

 

Et là j’ai découvert un appendice hyper pratique !

Mon nez !

L’œilleton est décentré sur la gauche et je vise toujours avec mon œil droit.

Moralité, le boitier s’appuie naturellement sur l’aile de mon museau.

Stabilité assurée !

L’automatisme de mon boitier fait le reste.

Dernièrement, j’ai passé 5 ou 6 heures dehors sous des trombes d’eau comme il en tombe souvent à Bordeaux.
Mes Timberland ont même légèrement pris la flotte. C’est dire !

 

Je n’avais comme protection qu’un simple parapluie.

J’ai pu shooter sans problème particulier.

 

Mon boitier n’a pas connu les affres de mes chaussures. Il a toujours été au sec !

Tweetez Protéger appareil photo de la pluie

Évidemment cette solution pour de la photo sous la pluie est vraiment pratique pour moi.

Vous me rétorquerez que c’est relativement facile vu que je n’ai pas d’objectif de rechange ni de sac photo.
Oui ! Et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai décidé de supprimer mon sac photo et d’adopter une structure «légère » en Street Photography.

J’imagine que pour des clichés de paysage ou animalière la chanson doit être différente. Mais je ne pratique pas ce type de image.

Plus d’excuses

Maintenant vous le savez !

L’excuse de la pluie ou de la neige pour ne pas faire une sortie photo ne tient plus !

J’ai repris les différents conseils que l’on retrouve ici ou là sur le net.

Le chapeau parapluie : si vous vous décidez à le tester, prévenez-moi ! Il va y avoir des photos à faire ! 🤣
Le manchon ou la version économique avec un sac congélation.
Je ne l’ai jamais vraiment testé. Cela peut être une solution si l’on est pris au dépourvu avec une supérette ouverte dans le coin.
L’objectif n’est pas protégé.
Fuji conseille d’ajouter une bague supplémentaire pour assurer le « tous temps » de son dernier X100V.
Il faut y prendre garde !

Petite pluie : je ne fais rien, sinon protéger l’objectif dans ma main ou le fourrer rapidement dans ma poche ou dans sous ma veste pour ceux qui utilisent une bandoulière.

Restent les averses, les grains ou la mousson !
Le poncho peut s’envisager mais je n’ai pas envie de ressembler aux touristes revenants de chez Mickey et qui visitent Paris.
Vous allez me rétorquer que j’exagère…
Oui. Il y a eu des efforts côté coloris et matière. Reste à vérifier « l’effet sauna », la transpiration mouille souvent plus qu’une petite pluie.

Ma solution : elle est bien adaptée à ma manière de pratiquer la photo sous la pluie, c’est le parapluie !

Tout est sec.
Je ne passe pas pour un olibrius.
Je reste discret.

Pas d’ennuis majeurs constatés avec les automatismes modernes, les shoots s’enchainent alors que les éléments autour de soi se déchainent.

La solution fonctionne bien. Vu l’état de mes chaussures, ce n’était pas une petite pluie !

Elle est économique. Quoique… Avec le nombre de pébrocs que je perds… mais c’est autre histoire.

 

Je ne suis pas le seul photographe de rue à l’utiliser. Je me suis inspiré d’un street photographer allemand.
Même le célèbre Tatsuo Suzuki pratique de cette manière ! Et lorsque les conditions sont vraiment mauvaises, il utilise un sac plastique avec un trou pour l’objectif.

Maintenant, à vous d’essayer l’astuce toute simple du parapluie que tout le monde rejette aux motifs qu’il prenne une main.
En Street Photography, les automatismes et les préréglages sont là pour vous dispenser d’utiliser les deux mains.
Cerise sur le gâteau, si vous avez un œilleton décalé sur la droite et un nez proéminent comme le mien, la stabilité est assurée !

Alors vivement des photos sous la pluie pour faire un essai ?

Si vous avez une astuce, n’hésitez pas à la partager en commentaire.
C’est en partageant que l’on progresse… Je suis loin de tout connaître.

10 commentaires sur “Photo sous la pluie : comment protéger son appareil ?”

  1. Ma solution: Goretex pour la personne et parapluie pour l’appareil en cours d’utilisation. Bien sûr on ne peut pas photographier avec son téléphone car il faut utiliser les 2 mains!
    Aussi: se mettre à l’abri ou bien attendre la fin de l’averse pour opérer!

    1. Sans oublier une très bonne paire de chaussures étanches !
      Je crois avoir trouvé les miennes.
      Tu as raison, la meilleure protection est d’attendre à l’abri et d’en profiter pour capter les les passants rincés.

  2. Je viens d’investir dans un manchon ! Après un x-t10 noyé par une averse Londonienne, un x-t30 en rade après un orage en Corse (!), je me méfie ??

  3. Chouette article.

    A première vue, y a pas mal de redondances et de passages à vide pour pas dire grand-chose, on a un peu l’impression de perdre un peu son temps à tourner un peu en rond pour souvent répéter des trucs un peu pas sorciers qu’on connaît déjà un peu tous (oui, moi aussi j’aime bien un peu les répétitions inutiles ^^), mais la verve est là, l’humour aussi, et finalement, c’est assez sympa de se perdre dans les méandres de la lecture et les figures de style qui ne manquent pas de sympathie.

    J’ajouterais néanmoins à vos options la poche/étui en cuir. Je porte mon Fuji XT3 en bandouillère avec un sling, et j’ai un étui en cuir quasi sur mesure qui le recouvre presque à 100% (en tout cas, les parties stratégiques) quand je ne m’en sers pas.
    Ca + le parapluie, et j’ai jamais eu de problème non plus (et ça fait bien 4 ans que je shoote ainsi, d’abord avec mon petit XT10, puis 20, puis maintenant le 3. Bon, j’avoue, avoir un petit appareil léger qui rentre dans sa coque, et tropicalisé par dessus le marché, ça aide à se sentir tranquille).

    A tester.

  4. Un bon manteau de « sportif » en gore-tex triple avec un bon capuchon me permet d’être au sec, sans suer. Les poches sont assez grandes pour y cacher un petit appareil.

    1. Merci pour cette remarque et c’est une des solutions que j’aurais du ajouter en complément du poncho.
      La capuche ne me dérange pas lors des randonnées à la montagne.
      En ville, je trouve que cela m’isole trop de la ville et de ce qui s’y passe. J’ai l’impression d’être dans une bulle et de rater des occasions.
      Mais c’est un sentiment tout personnel avec ma manière d’aborder la ville.
      Malheureusement, le boitier n’est pas aussi bien protégé dans ce cas là que ma calvitie.

  5. Merci , de cet article fort bien documenté ! J’avais il y a longtemps acheté un manchon pour mon nikon, il dort au fond de mon placard !
    Effectivement pébroc et Fuji x pro 2 avev un 27 mm ou un 14 mm su rl’hyper focale et iso auto diaf à 5,6 ou 8 et vitesse mini 80 eme et aprés c’est le bonheur et puis un petit flou en street photo ça ajoute de l’ambiance !
    Détail à Marseille , il ne pleut pas souvent, mais quand c’est des rincèes !

    1. J’ai bien fait de ne pas investir dans un manchon.
      Peut être garder le manchon au cas où un voyage dans un pays sensible aux moussons se présente.

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