1 règle et 15 conseils pour un voyage photo

Table des matières

Ne manquer de rien en voyage photo

Combien de fois, suis-je parti en voyage avec mon sac photo plein à rebord!

En plus, j’avais les enfants avec le cortège de lit pliant, jouet, livre et autre doudou indispensable.

Le rituel avant le départ commençait bien avant que l’on fasse les valises.

La tendance familiale est de boucler la valoche en 5 minutes avant de s’envoler.

Sauf…

Sauf pour mon matos.

Le rituel ne variait guère avec le temps même en photo de rue

Je commençais par prendre mes boitiers.

C’est certain, le Blad est INDISPENSABLE !

Et puis, le 180 devient indispensable si je désire faire un portrait.

À l’époque, j’utilisais un Nikon FM2 complété d’un 28, d’un 50 et d’un magnifique 85 ouvert 1.8.

La mode était au flash sur le deuxième rideau ?

Bingo, le mien faisait partie du voyage.

Et puis on ne sait jamais…

Je peux avoir besoin de faire de la vitesse lente.

En route pour caser mon trépied accroché avec les lanières sur le sac.

Petit matos, maxi place en voyage photo

Le petit matériel à demeure dans mon fourre-tout participait au voyage.

J’ai ressorti ma besace pour en faire l’inventaire :

  • Les filtres, rouge, vert et jaune dans leurs boites respectives
  • une poire/pinceau pour les poussières,
  • un chiffon doux,
  • un calepin avec un stylo,
  • les papiers et factures de l’attirail
  • un couteau suisse multifonctions pour réaliser les réparations que je n’ai jamais su faire.
  • sans oublier le moteur du FM2 que je n’utilisais jamais.
    Mais on ne sait jamais, s’il me venait l’idée de singer les reporters de guerre sur la plage.
  • Il me semble même avoir embarqué mon manchon de labo si une pelloche récalcitrante bloquait mon boitier.
  • Restait à prendre les pellicules.
    Une quinzaine pour chaque appareil était un minimum.

Je pense que tous les accessoires présentés un jour dans un article de presse devaient trouver une place dans mon sac photo.

Ne me dites pas que je suis barjot, on a tous fait ça…
Au moins au début

Voulez-vous savoir ce que cela a changé pour moi ?

Alors, suivez-moi !

les avantages et bénéfices

Voyage photo avec le minimum de valise

Cette bascule sur le matériel, je l’ai faite il y a plusieurs années.

Une famille avec deux petits enfants qui ne voyagent qu’en transport en commun, cela nécessite d’être assez vigilant avec ce que l’on emporte.

Une première expérience avec tout le barda (lit pliant et j’en passe…) et l’on découvre la présence d’un lit pliant inutilisé dans le coin visité.

Il suffit de demander.

Donc, la base était et est reste, un sac par personne, plus un pour les jeux et livres.

Je ne remercierais jamais assez la compacité des Gameboy de l’époque.

Évidemment, si j’embarque mon matos, la famille me regarde d’un mauvais oeil.

En conséquence, j’ai dû faire un tri.

Passons en revue les bénéfices d’une telle pratique :

Fais pas chier

Et oui, je n’emmerde plus ma famille avec mon matos.

Plein le dos

Je l’ai mis à rude épreuve et maintenant c’est fini.

Je ne marche plus avec une épaule en l’air, complètement tordu durant des heures, pour assurer la bandoulière de ma besace.

À mon âge, après une mauvaise sciatique et un lumbago, je suis content de plus rien porter en permanence.

Se poser les bonnes questions

Se poser les bonnes questions

Autre chose…

Je ne me pose plus de questions sur ce que je vais emporter.

Que j’aille faire les courses au marché ou que je voyage vers St Petersbourg, le même boitier avec le même objectif est logé dans ma poche.

Sa bite et son couteau

Cette citation n’a jamais été aussi vraie pour moi mais c’est plutôt :

« Mon boitier avec son 35 et mes pieds »

Le principal en voyage photo

Certainement, le principal.

Je ne me pose plus de questions sur savoir où est mon matos, s’il est en sécurité.

Il est dans ma poche, tous les jours.

La Règle

Les règles pour voyager léger

Alors comment se décider à franchir le pas de la légèreté ?

Votre principal ennemi : c’est vous !

Votre peur de manquer.

L’angoisse face à une situation sans l’objet ou le petit truc qui (Ressassé à longueur de publication reportage ) est INDISPENSABLE.

C’était encore plus vrai du temps de l’argentique.

Par exemple, nous devions tous avoir des filtres dans notre sac.

Une manne pour Cokin.

Filtres gris, vert, rouge, jaune, bleue, et le net plus ultra, celui qui fait de vous un photographe, le filtre polarisant !

Avec le numérique, c’est devenu beaucoup moins important car ils sont soit disponibles dans les menus (gris) soit intégrables sous Lightroom.

Il conserve tout

Dans ma vie de tous les jours, j’ai une tendance à tout conserver.

Le moindre papier que j’oublie de jeter trône sur mon bureau.

Une boite qui peut être utile. Un jour.

Des fringues que j’adore et qui me rappellent ma jeunesse.

Elle est bien loin maintenant et mes fripes encombrent toujours mon placard.

Ma technique

Le prix du m2 progressant beaucoup plus rapidement que mon salaire, je devais réagir sous peine de finir dans l’émission « La reine du rangement ».

Le truc est assez simple et peut s’appliquer à toutes les situations, même la photographie.

Il tient en une phrase.

« Si je ne l’ai pas utilisé depuis 1 an, c’est que je n’en ai pas besoin »

Tout simple !

Faites l’exercice devant votre placard.

Ôter tout ce que vous n’avez pas mis depuis un an.

Je le fais tous les ans vers septembre.

Quelques-uns résistent perfidement en utilisant l’affectif, mais une ou deux années auront raison de lui.

Alors prêt à le faire pour votre balluchon ?

Comment couper le cordon ombilical avec son sac photo ?

J’ouvre ma besace.

Par exemple.

Je commence avec l’article qui me semble le plus courant : le flash.

Soit vous êtes Bruce Gilden, pas de soucis. Cela fait partie de votre karma et vous le prenez tous les jours.

Même avec son diffuseur.

Mais si vous ne l’emportez « au cas ou », votre principale peur sera que les piles coulent.
C’est du vécu…

Alors, laissez-le à la maison !

Je n’ai pas utilisé mes flashs depuis au moins 15 ans, et j’apprends à dénicher la lumière naturelle d’une fenêtre.

Idem pour le pied photo, je n’en prends jamais et je profite d’un mur, l’appui d’une chaise pour me stabiliser si ma vitesse est trop basse.

Continuer le processus et poser la question du plan B si vous en aviez besoin, c’est-à-dire comment s’en passer.

Il est temps de faire l’inventaire de tout ce que je pouvais avoir dans mon sac et que j’ai éliminé.

Votre fourre-tout devrait ressembler au mien. On doit y retrouver à peu près le même fourbi que celui d’une personne atteinte de syllogomanie.

J’ouvre :

Les 15 bidules à virer du sac photo

Solution Voyage Photo léger

1 Ça ne fait pas riche mais photographes aisés.


Voilà, ça commence bien, combien d’appareils emporter ?
Je ne vous fais pas un inventaire à la Prévert de tous mes boitiers mais uniquement ceux qui pourraient convenir.
-Mon Blad en 6X6 argentique,
– Nikon FM2 argentique avec un 28, 50 et 85
– Fuji X100V en 35 mm (eq 24X36)
-Fuji X70 en 28 mm.
Le 6X6, pour un voyage, je l’ai fait et c’est trop lourd.
Même si ce que l’on peut réaliser est très intéressant dans la rue grâce à sa lenteur et son côté décalé.
Le Nikon a été de toutes mes sorties avant le numérique. Aurais-je le temps de traiter les négatifs et de remonter mon labo ?
Non. Donc…

Fuji X100V et X70.
Deux focales différentes et à l’utilisation assez proche.
Lors d’un voyage en Russie, j’ai emporté les deux car j’avais peur d’une panne éventuelle sur le X100V.
Je ne l’ai jamais manipulé et j’ai dû me coltiner les piles et le chargeur.
Il reste à la maison et mon plan B sera mon smartphone.
L’intérêt de la Street Photo ou photo de rue est d’accepter tous les petits défauts.

Le matériel n’est pas une priorité. Mais on doit en connaitre parfaitement ses limites et son utilisation en Street Photography.

2 Faites un choix lors d’un voyage photo

Faire un choix

Sujet mille et une fois abordé que l’on retrouve un peu partout.
Si vous avez un appareil à objectifs interchangeables, vous allez vous balader avec toute la collection.
En clair, vous porterez un semi-remorque sur votre dos.
En Street Photography, le 28 ou 35 et à la limite le 50 mm suffit.
Lorsque je dis « suffisent » ne signifie pas que l’on doit adopter les trois.
Ne prenez qu’un seul objectif.
Le 28 est le plus facile pour cadrer à la volée, le 50 est plus difficile.
En ce moment, j’utilise un 35 mm.
Je pense n’embarquer que celui-là cet été.

Faites un choix.
Créer, c’est choisir.

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3 L’indispensable en voyage photo.


Si c’est du numérique, l’indispensable est du côté des piles, chargeurs et cartes mémoires.
C’est le minimum du minimum !
Pour les piles, je connais ma consommation.
Une batterie par jour en temps normal.
Deux accus en voyages max.
J’ajoute une 3e au cas ou j’aurais oublié de recharger.
Tentez la règle suivante.
Prenez le nombre de piles que vous usez lors d’une sortie habituelle.
Multipliez le par 2 car on photographie plus en déplacement.
Augmentez de 1 pile de plus en secours.
Ne pas négliger le chargeur. Il fait partie des indispensables et je n’ai pas trouvé le moyen de m’en passer.

4 J’ai la mémoire qui flanche

Doit-on utiliser plusieurs cartes mémoires ou une seule ?
Les cartes mémoires ont des capacités énormes pour des prix assez raisonnables.
L’encombrement est plus que réduit dans le sac si l’on ne s’encombre pas des différentes boites de rangement proposées.
Si l’on a peur de perdre ses clichés, on peut utiliser une carte par jour.
J’utilise de petits sacs congélations. Les cartes y sont très à l’aise et celles qui sont utilisées se logent dans un autre sac mis à l’intérieur du premier.
Vous voyez l’idée…
De mon côté, je prends 2 cartes mémoires. J’en ajoute une au cas ou …
En cas de manque de place ou de défauts techniques, les magasins de matériels ne manquent pas.

5 La peur ultime

La peur du sable et de l'eau de mer

Vous faites enfin ce super voyage photo dont vous rêviez.
Déjà quatre jours que vous arpentez les rues avec votre appareil photo.
Vous avez assuré le coup en utilisant une carte par jour.
Elles sont bien au chaud dans votre sac.
Et là l’accident.
La bouteille de Coca était mal fermée dans votre besace et fait prendre un bain sucré et corrosif à vos images.
Aie
Voilà bien l’histoire que l’on vous susurre pour l’achat d’un disque dur externe capable de sauvegarder vos clichés sans PC.
Vu le prix, et que je ne bois pas de Coca, je n’ai pas l’intention de m’encombrer.
N’étant un professionnel, je n’ai pas d’obligations de sortir quelque chose à tout prix.
Pour moi, ce ne sera pas ceinture et bretelles.

6 Le pare-soleil

En été, il est en permanence vissé sur l’objectif.
En hiver, il rejoint ma besace.
Je ne suis pas certain que tout cela soit très logique.
À défaut, si je refuse un flare, je cadre afin qu’un élément du paysage masque la lumière.
J’ai même essayé de limiter l’impact du soleil avec ma main juste à l’extérieur du cadre.
Ça le fait…

7 C’est pas le pied !

Vu le nombre de photographes que je vois se balader avec un pied attaché à leur sac, je pense que je vais me faire flinguer dans les commentaires.
Et je vais être encore plus méchant : je pense que la proportion de ces photographes qui utilisent le trépied est proche de zéro.
Mon trépied (et oui j’en ai même trois) reste à la maison.
Si j’ai besoin d’une vitesse lente, je sers d’un appui contre un mur, une chaise ou plus fort, en profitant de la tension de la bandoulière.
Franchement, c’est largement suffisant pour de la photo de rue.

8 Le célèbre spot Instagram

Le spot instagram a partager

Peut-on imaginer passer devant un champ de lavande avec sa compagne portant un chapeau et ne pas le partager sur Instagram?
Moi oui !
Je plaisante.
Quel que soit le moment, il est difficile de ne pas poster quelques souvenirs pour les copains.
Alors, tablette, ordinateur portable ou téléphone pour éditer et poster ?
Après avoir très longtemps baladé mon micro, j’ai définitivement opté pour mon Ipad.
Et pas seulement pour la photo.
Du matin au soir, elle m’accompagne dans tout ce que je fais.
De plus, les outils en ligne comme Canva ou Spark photo ou vidéo ainsi que les applis Lightroom ou Photoshop assurent une totale liberté.
Vu l’encombrement et toutes les possibilités qu’elle offre (recherche d’une adresse, itinéraire …), je ne m’en sépare jamais.
Si vous n’avez pas de tablette, un bon smartphone fait le même travail mais avec un écran un peu plus petit.
Mais a-t-on besoin d’un écran pro pour une publicité Instagram ?

9 Photo qualité filtre pour le gringo

Filtres vert, rouge, jaune, gris ou polarisant ?
Je vais être franc, en numérique, le seul pratique est le filtre gris.
En argentique, j’ai souvent emporté les autres.
J’ai dû les exploiter une fois ou deux.
Histoire de faire croire que j’étais un pro comme lorsque l’on recourt à un moteur externe sur son boitier.
Je n’ai pas trouvé d’utilité pour la Street Photography en voyage photo.
Donc : non.
P.S.
Le filtre gris qui atténue les fortes lumières pour accéder aux vitesses lentes est disponible dans le menu de mon Fuji. Regardez celui de votre appareil.

10 La fée du logis


Je ne suis pas un fana de l’entretien du matériel à passer des heures à éliminer quelques poussières.
Je ne dois pas être le seul, tous sexes confondus.
Adieu, poire, balayette,  lotion.

Je vais vous confier ce que j’utilise.
Vous allez crier au scandale !
Peut-être me lyncher…
Tant pis, j’y vais.
J’utilise le bout de tissu de ma paire de lunette de soleil ou … mon tee-shirt.
Je ne me souviens pas avoir endommagé quoi que ce soit.

11 La pluie fait des claquettes sur le trottoir

Voyage photo sous la pluie

J’adore photographier lorsque le ciel est bas et lourd et que les passants se faufilent entre les gouttes de pluie.
Si vous me suivez, vous savez que j’ai déjà abordé le sujet.
Je vais faire court et vous renvoyer vers l’article : Comment protéger son appareil ?

12 Le seul endroit où je flippe


Je suis curieux de connaitre votre position sur les endroits les plus flippants pour votre matériel lorsque vous partez en voyage photo.
Partagez-les en commentaires. Ajoutez les astuces pour protéger votre appareil.
De mon côté, le seul coin où je fais hyper gaffe se situe du côté de la plage avec son sable fin.
Dommage, car les sujets sont nombreux.

Pas question de protéger son appareil du vent en le dissimulant sous ses vêtements, on est généralement en slip de bain…
Ça risque de faire présomptueux.
Si je ne prends pas ma besace, je demande l’asile dans le sac de ma femme.
Je l’emmaillote avec un linge et je le range si je ne suis pas en action.
Si vous avez une astuce pratique et facile, dites-le-moi.

13 Sac photo, sacoche habituelle, veste ou nu comme un ver.


Pour caser le peu de matos, j’ai déjà fait un article sur le sujet.
Pour moi c’est adieu le sac photo.
Les piles sont dans ma poche, le pare-soleil est sur le boitier.
Le reste (chargeur, carte mémoire …) demeure à l’hôtel.
Si j’ai vraiment besoin de ranger mon appareil temporairement, je profite de ma besace avec mes papiers, ma bouteille d’eau et mon chapeau. J’utilise alors le wrap de l’article Supprimer le sac photo.

Un photographe armé d'un très gros appareil photo débarque comme Rambo.
P.S. Et la veste baroudeur pour un voyage photo ?
Perso, pas pour moi.
Mais si cela peut vous faire plaisir…

14 Je ne suis pas une lumière


Le flash, on en fait quoi ?
Vous l’utilisez souvent en photo de rue ?
Votre nom est Bruce Gilden ?
Dans l’affirmative, pas d’hésitation, il doit être sur le boitier ou comme Bruce, dans votre main.
Sinon, même pas en rêve dans la valise.
Il reste à la maison, je ne suis pas une lumière.
En revanche, le défaut de clarté peut illuminer vos capacités artistiques.
Vous devrez vous déplacer et rechercher la lueur naturelle, attendre que le sujet s’y glisse.
Des contraintes apparaissent dont vous serez fier de leurs exploitations.

15 Le plus simple n’est-il pas une coque ?


J’ai testé la demi-coque.
Elle possède plusieurs avantages comme une meilleure préhension.
L’appareil est immédiatement disponible en voyage photo.
La semelle est protégée des risques de rayures ou des liquides.
Évidemment, comme à chaque fois avec un nouvel objet, la prévention est utilisée les premiers mois.
Plus tard, on la trouve encombrante, lourde et l’on porte moins attention à son achat.
Aujourd’hui, la semelle de mon boitier est rayée.
La preuve que mon appareil possède une vie !

Maintenant, plongez !

L'essentiel Street Photography
Si vous avez suivi ces 15 conseils, vous venez de maigrir sans aucun régime !
Mais maintenant, il faut plonger et me maudire si votre zoom est resté à la maison.
Dites-vous simplement que le temps que vous changiez d’objectifs, l’instant sera passé.

Et oui, les jambes sont plus rapides et plus utiles à trouver un cadrage que l’ouverture du sac.

Donc gardez en tête la première des règles :

« Si je ne l’ai pas utilisé depuis 1 an, c’est que je n’en ai pas besoin »

Ensuite posez-vous la question du plan B, si vraiment vous aviez besoin d’un flash, trépied ou autre.

La Street Photography est une école de Macgyver.
Vous trouverez une tonne d’astuce sur le terrain.
Elles sont en général très facilement mise en oeuvre et très rapide.
La photo de rue exige beaucoup, beaucoup d’agilité.

 

Vaincre sa peur de photographier des inconnus

8 commentaires sur “1 règle et 15 conseils pour un voyage photo léger”

    1. Bonjour,
      Ah les départs en vacances avec le barda, les enfants et le matériel photo.
      Je me suis vu un jour imposer une valise par personne et m’octroyer royalement une valise plus le sac photo.
      Un peu dictateur….
      Belle journée

  1. Tout cela est du vécu. Je me souvient avec le blad 500 cm , le Nikon F2 . Et les optiques . Maintenant OMD 1 MarkIII et un petit zoom ou selon où je parts un Sony mx100v dans la poche et l’iPhone . Léger comme un oiseau . Les jambes sont mon zoom

    1. Bonjour,
      J’ai eu une époque ou j’allais à la boulangerie avec mon Blad !
      Un peu lourd avec les croissants ?
      L’Iphone est une bonne solution, surtout sur un lieu rarement photographié : le travail.
      Je suis assez fou pour y faire des photos de temps en temps.

  2. marie france arnoux

    Bonjour, cet article m’a bien fait rire !! c’est tout à fait moi,
    mais maintenant que j’ai 80 ans, après avoir trimbalé Asahi Pentax avec ts les objos, jusqu’au 300
    le Mamya 645, puis ensuite les Nikon dans une valise avec ts les objectifs , 50mm,35mm, 90mm,
    200mm, 300mm et en dernier le Nikon D300, j’ai décidé cette année de laisser tout ça à la maison !
    ai acheté par hasard u Panasonic Lumix TZ80 que je mets dans mon sac à main ou dans ma poche
    et je suis absolument ravie de la qualité de ce petit engin ! adieu les gros reflex et tout ce qui va avec !
    maintenant je me balade légère !! Bonne journée !

    1. Bonjour,
      Et avantage, on peut l’avoir en permanence avec soi.
      Ce qui est une des premières conditions pour faire de la photo !
      J’enfonce peut-être une porte ouverte, mais une photo se présente souvent lorsque l’on va au boulot et l’appareil est à la maison.
      Bonne continuation photographique.

  3. D’accord sur tout. Personnellement J’ai franchi un pas supplémentaire en passant au Ricoh GR et sa focale fixe de 28 mm (équivalent 35 mm) : taille mini, poids plume, (absence de) look 😉
    Rien à voir avec mon XT4 et son objectif 18-55 qui reste désormais le plus souvent à la maison quand je fais de la photo de rue, et pourtant il a un viseur d’excellente qualité, un écran superbe, des simulations de films splendides et j’en passe.
    C’est vrai : je « rate » pas mal de photos impossibles à faire avec le Ricoh et pour lesquelles le petit zoom du Fuji est parfaitement adapté.
    Pourquoi ce choix ? Le GR tient dans la poche (une grande poche quand même !) et la deuxième batterie (indispensable vu l’autonomie ridicule !) aussi. Très reposant pour les épaules et le dos.
    PS : le Musée Soulage de Rodez est splendide, il vaut le détour !

    1. Bonjour,
      Le Ricoh est un appareil très souvent conseillé.
      Et il le mérite.
      J’ai hésité, mais venant de l’argentique avec des boitiers manuels, j’étais un peu effrayé de plus avoir de bague de diaphragme.
      C’est la raison pour avoir opté pour un X70 et ensuite un X100f.
      Vivement Soulages et je pense ensuite aller me balader du côté du plateau de l’Aubrac.
      J’adore ce coin.

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