Donc j’ai travaillé mon œil.
J’ai plongé dans des bouquins de photographes, des expositions et cramé des tonnes de pellicules.
Et je ne parle pas du papier, de la chimie et des heures passées dans la lumière rougeâtre du labo.
Je me suis même essayé au sténopé avec une boite à chaussure. C’est une expérience à réaliser. Elle permet de relativiser sa dépendance au matériel.
Maintenant, j’ai abandonné mon sac, juste un appareil dans ma poche (à défaut avec mon iPhone).
J’ai appris à limiter le matériel et j’économise pour acheter des bouquins.
Même si je ne recherche pas spécialement des publications, j’ai participé à plusieurs expositions, dont certaines d’un bon niveau.
Comme je récupère rarement mes tirages, mes photos doivent se promener quelque part.
J’aime assez cette idée…
J’essaie de vous proposer des contenus de qualités.
Par exemple sur la peur la plus commune chez le photographe de rue; je propose une méthode, des astuces, pour me faire accepter et photographier au plus près à partir de mon expérience personnelle.