
L’histoire de la street photography
L’histoire de la street photography commence avec la Photo League de New York et les expos du MoMA comme « New Documents », qui ont marqué l’inauguration de ce nouveau genre.
Vous l’avez certainement ressenti ce grand vide complètement perdu au milieu de dizaines de milliers de photos.
Cela m’arrive aussi.
C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, non ?
Par exemple, l’autre jour, je tentais désespérément la réaliser d’un diptyque ou d’un triptyque pour un de mes clichés.
Armé de patience, je me suis lancé dans la fouille de toutes mes instantanés une par une pour retrouver celles que j’avais en tête.
J’ai essayé de répertorier les photos par année, par thèmes, mais finalement, j’ai abandonné, reportant ça à plus tard.
C’est tellement plus simple de feuilleter un vieux classeur avec des planches contacts qu’allumer l’ordinateur, attendre que ça démarre, ouvrir le logiciel avec son petit sablier qui tourne, pour enfin se demander : « Mais où est cette photo ? »
Vous vous souvenez de ces planches contacts argentiques que les cheveux blancs ont connues ?
Quelquefois les vieux ont peut-être du bon…
Pour ma part, elles étaient souvent en vrac sur le bureau.
Mais deviner quoi ?
On savait toujours où chercher.
L’œil humain est incroyable pour repérer une miniature sur une planche contact en quelques minutes.
Impossible de réaliser cette prouesse avec les applications actuelles.
À la fin, vous abdiquez, une autre idée surgit, et vous repartez dans un tourbillon d’abandons.
C’est comme si vous tourniez en rond.
Tout ce temps perdu, cette immobilité, cette impression de stagnation…
C’est frustrant, vous ne trouvez pas ?
Ah, le monde moderne et ses avancées technologiques dans la photographie !
J’ai été témoin de cette évolution, croyez-moi.
Entre le travail, les enfants, l’absence d’un labo à portée de main, et toutes ces petites tracasseries qui viennent avec la vie, il était parfois difficile de sortir plus de trois ou quatre images par mois.
Je parle de sortir au sens propre, avec un tirage 20×30, bien sûr.
Là, il fallait les développer, les faire sécher, les retoucher…
Voyez-vous le tableau ?
Aujourd’hui, avouons-le, c’est bien plus simple.
Un rapide tour sur Lightroom, et en cinq minutes, vous avez finalisé vos photos.
Si cela vous intéresse, je vous glisse le lien vers l’article « comment faire un editing«
Les labos près de chez vous peuvent vous faire des impressions pros sans que vous ayez besoin d’investir dans une bestiole de qualité et d’en apprendre tous les tenants et aboutissants.
Résultat, vous pouvez sortir vingt tirages dans le mois sans souci.
Cependant, quand il s’agit de trier, c’est une autre paire de manches.
La multiplication des dossiers et des répertoires complique parfois la mise en relation de deux ou plusieurs photos.
Vous parcourez vos catalogues, mais vous ne pouvez pas les avoir « sous la main » au cas où ?
Vous vous dites, « Peut-être celle-ci ? »
Et vous créez une collection pour la ranger.
Puis, vous revenez à votre tri initial, mais, malheureusement, vous ne vous rappelez plus trop où vous en étiez.
Alors, tout recommence car vous avez peur de rater LA photo !
Non, à ce moment-là, il est temps de faire une pause café.
On en arrive à une consommation excessive de café, et la frustration de ne rien déterrer atteint des sommets.
Avouez que le papier possède des avantages indéniables.
Et si on essayait de trouver des solutions ?
Cela en vaut certainement la peine.
Non ?
On y va ?
Vous vous demandez peut-être ce que font vos photos bien sagement rangées sur votre disque dur.
Eh bien, elles attendent, elles espèrent que vous preniez soin d’elles !
Mais comment ?
Comment donner vie à ces précieuses photos qui sommeillent dans les méandres de votre ordinateur ?
Il existe une méthode, une manière magique de les réveiller.
Et laissez-moi vous citer Gildas Lepetit Castel :
« Sans support, l’image meurt »
(découvert dans « Notes pour extirper des images » page 46).
Donnez à vos œuvres une substance.
Oubliez un instant Instagram, et pensez au livre ou au tirage pour une exposition.
Ce sont les véritables portes vers la mise en valeur de votre travail.
Imaginez-vous présentant devant un professionnel avec une quinzaine d’impressions soigneusement choisis.
Une autre gueule qu’un fil Instagram !
De même, concevoir une série de photos dans un bouquin ou une expo offre une expérience immersive au spectateur.
Vous les accueillez chez vous, dans votre univers visuel.
De plus ils stimulent votre créativité.
Ils vous poussent à réfléchir à la manière dont vos images s’entremêlent et interagissent.
Ils dévoilent les clichés manquants et vous guident vers de nouveaux horizons pour vos prochaines sorties, comblant les lacunes ou ratissant des thèmes connexes.
C’est donc essentiel de consacrer du temps à trier et à mettre en relation vos images, car c’est ainsi que vous donnez vie à vos photographies.
J’aborde le thème du séquençage dans le guide de la street photo pour info.
Vous disposerez de précieuses ressources pour présenter votre travail aux professionnels et élargir vos perspectives.
Et la cerise sur le gâteau, vous nourrissez vos futures explorations à la recherche de nouvelles compositions.
Pour toutes ces raisons, prenez le temps de trier et de connecter votre boulot.
Je sais que beaucoup d’entre vous ont déjà expérimenté cela avec des outils informatiques tels que Lightroom, mais laissez-moi vous faire découvrir une solution qui pourrait bien simplifier votre vie.
J’ai été guidé dans cette quête par le livre de Bernard Plossu intitulé « L’album de travail » et par une petite phrase qui a résonné lors d’un stage photo.
Alors, êtes-vous prêts à plonger dans cette aventure ?
Pour commencer, je vous présente l’album de planche contact de Bernard Plossu, photographe voyageur inséparable de son Nikkormat avec un 50 mm.
Publié au Editions Marval : Plossu : l’album de travail.
Bourlinguant énormément, Bernard Plossu décida vers la fin des années 70 de reprendre toutes ses planches contacts et d’en extraire, avec une paire de ciseaux, les meilleures images afin de les avoir toutes réunies pour des sélections futures.
Sous chacune, il inscrivit les références du film et quelques fois l’année.
Il les classa par pays ou par thème.
Ainsi retrouve-t-on des pages concernant le Mexique, Maroc, New York ou le nord de la France.
Mais aussi des rapprochements sur le sujet du vent, autoportrait, le musée d’outre-mer, les cinémas US, les immeubles étroits ou tout simplement sa cave !
Bon je vous montre ?
Cette planche reprend le thème des cinémas aux USA. Voilà un travail qui amorce de belles idées !
Ci-dessous celle concernant le vent.
Vous me direz que L’IA sur la version web de Lightroom ou les mots clés peuvent très bien faire l’affaire.
L’IA est capable de scruter nos catalogues et d’en extraire les photos répondant à certains critères.
Je ne suis pas certain que la recherche concernant le vent fonctionne particulièrement bien.
Autre solution, les mots clés permettent de signaler rapidement ce qui est présent dans le cliché.
Je ne sais pas pour vous mais personnellement, même en utilisant les références de l’IPTC, c’est un beau foutoir de ce côté-là.
Plossu a choisi de faire une extraction par pays visité et thèmes.
Si vous êtes un aussi grand voyageur que lui, l’idée de reprendre cette classification géographique est logique.
J’avoue que mes photos sont plutôt réalisées dans un périmètre de 10 km autour de chez moi.
Alors pourquoi ne pas adopter les quartiers de Bordeaux ?
Le risque est de se retrouver avec seulement une dizaine pleine comme un œuf.
Idem pour un choix avec les années. J’ai basculé de l’argentique au numérique en 2017.
Moins de 10 ans. Moins de 10 répertoires, mais on y reviendra un peu plus tard
Par contre, j’ai déjà plusieurs thèmes dans Lightroom qui catégorisent considérablement mes images.
Partons là-dessus !
Dans chaque dossier thématique, j’intègre plusieurs collections.
En premier lieu une collection dynamique reprenant un ou plusieurs mots clés.
Petit aparté…
Lorsque je fais mes recherches sur un sujet, j’utilise la bombe de peinture avec le motif « Libellé » complété du ou des mots clés à associer à la photo.
Ainsi, je me promène à travers mes images des différentes années en mode grille avec la bombe à la main.
Rapide et assez efficace.
Revenons à nos moutons.
Dans le dossier thématique la collection dynamique ramène toutes mes photos.
J’ai aussi une collection nommée « clichés choisis » et une collection pour les photos « Peut-être ».
Je déplace à la main les compositions élues de la collection dynamique vers la collection choix ou éventuelles.
J’utilise quelques fois les étoiles de Lightroom associé à la programmation de la collection dynamique.
Petit inconvénient, une image « 4 étoiles » n’est pas forcement désirable dans un sujet.
Doit-on lui ôter ses étoiles alors que c’est une bonne photo ?
OK, je chipote car les cas sont très rares…
L’important réside dans le choix et non de savoir s’il faut 3, 4 étoiles ou 3 et demi.
On continue ?
Direction le module impression de Lightroom.
Dans le cartouche de gauche de l’écran, un répertoire modèle Lightroom va nous faciliter le travail.
J’utilise en ce moment le schéma « Planche contact paysages 5×9 ».
Sélectionnez toutes vos clichés et elles apparaissent immédiatement sur la planche contact.
À gauche de celle-ci, les informations indiquent le type de papier.
Ici du A4 pour l’imprimante.
Tout cela est bien évidemment modulable via le menu « Mise en page » et « Paramètre d’impression ».
Les photos en portrait risquent suivant les réglages d’être mises en mode paysage.
Pour remédier à cela, sur le cartouche de droite, vous avez un module « Paramètre de l’image ».
Décocher « Adaptation par rotation » est par miracle, le portrait sera de nouveau pris en compte mais dans un format beaucoup plus réduit fortement le cadre.
À vous de voir si vous privilégiez une lecture maximale à l’obligation, de tourner la page.
Bon c’est bien beau mais maintenant, il faut pouvoir retrouver ses images facilement dans Lightroom ou vos fichiers.
Le plus simple consiste à apposer le nom du fichier ou tout autre élément distinctif qui vous semple utile.
Comment faire ?
Toujours à droite, un cartouche porte la dénomination « Page ».
À l’intérieur, cochez « Information sur la photo » et choisissez « Nom du Fichier ».
Il ne vous reste plus qu’à réaliser l’impression sur votre imprimante, celle du boulot ou dans une boutique spécialisée.
Tous les ordinateurs disposent de la fonction « Imprimer ».
Même si vous ne possédez pas d’imprimante, vous avez la possibilité d’imprimer sous PDF.
Donc sélectionnez toutes les images et faites un clic droit.
L’item « imprimer » apparait et vous le choisissez.
Une fois dans le menu, recherchez dans les différents formats « Planche contact » et ajoutez les noms de fichier.
Il ne vous reste plus qu’à réaliser l’épreuve.
Faites attention à la qualité !
Que ce soit sur du papier tout simple ou en tirage photo, faites quelques essais pour affiner le résultat.
Maintenant plusieurs solutions s’offrent à vous:
– Soit vous les classez dans des pochettes ou dans des boites avec les tirages.
– Soit vous collez directement toute la page dans un cahier.
– Soit vous faites comme Bernard Plossu, et vous vous armez d’une paire de ciseaux et d’autocollant double face.
Maintenant il faut passer à l’action et pour 3 raisons très simples :
C’est que vous posséderez une visualisation rapide de vos images. Elles sont toujours disponibles dans leur ensemble.
Plus besoin d’ouvrir le portable ou de plonger dans l’application de votre iPad.
Le papier détient cet avantage de tenir en main et permet à votre œil d’intégrer la totalité de la surface sans scroller.
Vous scannez votre page.
Toute la puissance de votre œil autorise d’aller directement sur ce qui est important.
Vous gagnez un temps précieux.
De plus vous êtes sur du papier et votre crayon mémorisera vos choix ou interrogations immédiatement.
Regardez le bouquin de Plossu.
Il annote, commente, ajoute des croix, des points, des signes…
C’est son document de travail, l’historique du déjà fait.
Quel plaisir de le partager avec les personnes qui s’intéressent à votre boulot!
Elle réside dans le fait que vos feuilles sont toujours sous vos mains et vous n’avez pas la tentation de développer immédiatement.
J’ai remarqué que lorsque j’utilise Lightroom, je vais directement dans les collections habituelles.
Un coup d’œil rapide sur la grille et je commence à développer.
L’outil est sa puissance sont alléchantes.
De plus, en deux temps et trois mouvements, le cliché obtenu procure un boost de dopamine, cette hormone du bonheur, qui est relié au système de récompense logé dans notre cerveau.
Pourtant, nous sommes bien d’accord que seulement la moitié du chemin a été parcourue.
La construction d’une histoire, d’un diptyque ou d’une série devrait être le principal but.
C’est uniquement ensuite que l’on développe afin d’harmoniser l’ensemble des images.
-La dernière raison semble étonnante alors que j’utilise Lightroom.
Je ne sais jamais où sont mes photos préférées sur le disque.
Avec le programme, on n’emploie jamais les noms de fichiers. Tout se passe par clic et ouverture directe.
Lorsque j’imprime mes tirages de lecture en 10X15, suivant le laboratoire, le nom du fichier n’apparait pas forcément au dos.
Je me suis vu devant une pile à essayer de repérer leurs places dans Lightroom.
Dans quelle collection ?
C’était où ?
Quelle année ?
J’avoue que deux ou trois n’ont pas été récupérés pour l’instant.
Avec cette méthode et l’inscription du nom du fichier, vous les retrouverez bien plus rapidement via le module de recherche.
Convaincu ?
Alors on continue avec les quelques erreurs que j’ai commises.
Comme toutes nouvelles organisations, les mauvaises directions sont nombreuses.
J’ai listé celles qui m’ont fait déraper.
Mettez les crampons, on y va !
Et oui, gros malin que je suis.
Je trie, je classe, j’imprime et le carnet reste fermé.
Une des raisons ?
J’ai commencé par un cahier tout simple, mais en grand format 24×32 ce qui permettait de coller sans problème les feuilles A4.
Erreur, il était énorme, et je ne pouvais pas le trimballer avec moi.
J’ai opté pour un calepin plus sympa qu’un cahier d’école.
Direction la boutique d’arts plastiques et carnet de croquis à spirale mais à la taille moins généreuse.
Et mine de rien, c’est quelque chose que vous pouvez partager.
J’ai le souvenir de Michael Ackerman qui trimballait sa sélection sur Bénarès collée sur une bande de papier.
Partager un objet physique n’a rien en commun avec donner un lien internet.
Le prendre en main et commencer à tourner les pages c’est entrer dans l’intimité du photographe.
Vous offrez une expérience mémorable.
La première est d’utiliser la planche contact comme Lightroom.
C’est-à-dire qu’à la première image qui vous tente, vous vous précipitez pour la développer.
Non attendez !
Que raconte votre photo ?
Quelles forme ou architecture possède-t-elle ?
Commet pourrait-on la continuer ou la précéder avec une autre ?
Ai-je cette image ?
Peut-être l’occasion de dégoter la perle rare lors d’une prochaine sortie.
Voilà bien les questions que vous devez vous poser avant toute chose.
Souvenez-vous comment on pratiquait du temps de l’argentique.
Un gros crayon gras rouge ou bleu et l’on tirait une ou plusieurs lignes suivant l’intérêt porté à l’image.
Des croix apparaissaient dont nous étions les seules à connaître là signification.
Des recadrages se proposaient par l’intermédiaire du gros crayon rouge.
Koudelka avait toujours une pile de photos et demandait à chacun de ses collègues chez Magnum, lesquelles ils préféraient.
Des petits signes cabalistiques à base d’initiales et de chiffres mémorisaient la note donnée par chacun.
Faites de même !
C’est un document de travail qui doit vivre.
Coloriez, inscrivez, dessinez, découpez, recollez…
Tout est bon !
Lors de mes essais, j’ai gardé la taille des miniatures imprimées proposées par Lightroom.
Elles sont plus petites que le classique 24 sur 36 mm.
Je ne sais pas si vous aurez la même impression mais je les trouve trop exiguës à l’usage.
Je suis passé à la largeur traditionnelle.
Peut-être qu’avec l’âge, et la vue baissant, j’augmenterai les dimensions.
Ce n’est pas parce que l’impression est réalisée à la photocopie qu’il faut négliger ce point.
J’ai procédé à plusieurs essais avant de trouver le bon réglage.
Je vais tester aussi des tirages sur papier photo à découper.
Je fais environ entre 600 et 1500 images par mois.
Pour les petits mois, je peux tenter de tout faire en planche contact. À raison de 50 par feuille, au minimum, j’ai 12 pages.
En revanche, les mois intenses, cela représente 30 feuilles !
Donc à vous de voir, ce que vous choisissez suivant vos préférences : tout ou alors que les sélectionnées ou que les imprimées en tirage de lecture.
J’ai fait le choix d’imprimer les planches sur le réseau [Corep].
Beaucoup de grandes villes possèdent ce genre de service.
Pas besoin d’imprimante aux cartouches coûtant un bras et qui sèchent si vous ne les utilisez pas durant une semaine.
Une clé USB ou un Cloud et tout est en libre-service.
Pour les tarifs, je vous laisse regarder : [prix Corep]
Mais vous pouvez aussi utiliser du papier photo de qualité.
Les prix de l’impression sont relativement bas sur le net.
Le prix de la feuille 20×30 chez Fnac Photo débute à 1,90 €
.
Le choix est multiple :
– le cahier
– le classeur
– dans la boîte des tirages de lecture
Pour l’instant les feuilles sont à leurs places mais non collées car j’hésite.
L’idée de Plossu de découper chaque vignette et de le scotcher me plaît bien.
En effet la démarche est plus complète.
Je ne me contente pas d’imprimer une page d’une trentaine d’images pour les oublier.
Je les choisis une à une.
Je les découpe.
Et je les colle.
Chaque choix est mûrement décidé.
Je vais bientôt passer le baptême du feu car je vais devoir réaliser quelques séries.
Bon, il est temps de récapituler !
Sur le coup vous avez résolu le problème de retrouver facilement les images que vous aimez dans vos disques durs en utilisant la vieille planche contact avec le nom du fichier dessous.
Mais vous êtes allés plus loin.
La bonne idée de Bernard Plossu consiste à en faire un instrument de travail et de partage.
Vous avez choisi le mode de classement : le pays, le lieu, l’année, l’événement… les plus adaptés à votre pratique.
Ensuite vous avez élu les images bénéficiant d’un intérêt.
Lightroom permet de réaliser une planche contact facilement.
Les paramètres sont aisément accessibles et commodes.
Vous ne disposez pas de Lightroom, le module imprimante de votre ordinateur propose « planche contact ».
Vous visualisez toutes vos photos sélectionnées.
Idéal pour rechercher une image pour une série ou juste pour se souvenir de moments.
Ensuite elles sont visibles d’un seul coup d’œil sans passer un temps fou dans des filtres et autres collections.
Il vous suffit de tourner la page.
Vous disposez d’un outil de travail puissant car vous pouvez annoter, colorier, écrire ou signaler un nom.
Vous rentrez dans vos images, vous les découpez, classez, choisissez et vous les laissez mûrir.
Le tout dans un cahier qui vous suit dans vos pérégrinations.
Vous en faites un objet physique doté d’une « aura ».
Rien à voir avec un lieu web ou un profil Instagram.
Vous proposez au lecteur de s’immerger dans votre intimité photographique ce qui constitue une expérience inoubliable, autant pour lui que pour vous.
Je vous ai partagé les quelques erreurs ou fausses directions que j’ai commises. J’évolue encore.
Mais maintenant c’est à vous d’y plonger.
Le choix et l’impression ne vous prendront que quelques minutes.
Faites des essais pour trouver votre style et ce qui vous correspond le mieux pour analyser vos images et les cataloguer.
Partagez-moi vos remarques et réalisations en commentaires cela aidera les lecteurs qui désirent devenir old school avec la planche contact mais avec classe comme Bernard Plossu et posséder un objet physique de son travail.
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