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L'étrange viseur Fuji X100VI

Image de l'article sur les viseurs du Fuji X100VI

Table des matières

Il m’est arrivé une drôle d’histoire avec un Fujifilm X100F.
Bon, ce n’est pas tout jeune, depuis, mon boitier a rendu l’âme et je tourne aujourd’hui avec un Fujifilm X100V qui n’a pas de grandes différences avec le X100VI concernant le viewfinder.

Je vous ai déjà parlé du manuel de l’appareil qui a certainement été rédigé par une personne payée à la page.
Évidemment, je l’ai lu ou plutôt consulté très rapidement. Lorsque l’on a un jouet dans la main, l’envie de s’amuser est bien trop forte.

Donc, je me retrouve dans la rue après plusieurs mois d’utilisations et je découvre, tout à coup, une petite fenêtre numérique en bas à droite du viseur !

Première réaction : j’ai pété un truc !
La lucarne du viseur numérique s’est déplacée ou elle est tombée, et il ne reste plus qu’un petit morceau dans le viseur.

Je manipule le sélecteur, dans tous les sens mais aucune modification !

Grosse sueur…
Faire réparer ce genre de boitier est un vrai calvaire et le coût sera dans tous les cas important. Terminer le petit coup de tourne vis du temps de l’argentique.

Je débusque un banc et essaye de nouveau le fameux commutateur.
Rien.

Je vérifie tout de même que je peux continuer à photographier comme ça et je clôture rapidement ma journée photo.
Je n’avais plus la tête à la promenade.

J’avais plutôt la vision de mon compte en banque incapable de prendre la claque d’un nouvel appareil ou d’une réparation.

Une fois rentré chez moi, je me précipite sur le manuel pour comprendre le dysfonctionnement et, après un certain temps, j’ai réalisé que j’avais accidentellement activé le module ERF « Electronic Range Finder», très différent de l’EVF « Electronic View Finder ».
L’ERF offre un plus à l’œilleton optique, un petit carré numérique en bas à droite de la scène.

Pourquoi ?

À première vue, c’est le cas de le dire, pour améliorer la mise au point si j’en crois la pub de Fuji.
Ouais…
Comme je ne dois pas être le seul à être tombé dans le panneau, je vous propose un p’tit article sur le viseur Fuji X100VI qui est commun à la version V, au « F » et aussi au « T » qui fut le premier à accueillir l’ERF.

Vous ne possédez pas de Fujufilm ?
Ce sera l’occasion de le découvrir et d’apprécier l’utilité de cette option.

Êtes-vous bien installé ?
Alors, plongeons dans les yeux du Fuji 

EVF, OVF ou ERF sur le viseur Fuji X100VI : késako ?

 
Comme il est très facile de perdre son auditoire, ne faisons pas de la même manière que Fuji, débutons avec la signification des différents acronymes.  
  
Tout d’abord le plus simple,
 

Le viseur optique OVF : Optique View Finder 

Le viseur optique du Fuji X100VI
Le mot «optique» est dans le nom, donc c’est le plus simple. La lumière passe par le viseur et arrive tout de go vers vos pupilles.  
Un cadre est dessiné afin de vous permettre de correctement composer votre image.  
Vous pensez certainement que l’électronique y est absente.  
Et bien non, l’entourage du cadre bouge suivant la mise au point.  
En effet, l’œilleton étant décalé par rapport à l’objectif, une erreur de parallaxe survient lors des mises au point rapprochées.  
Fuji corrige cette erreur et vous pouvez observer votre cadre descendre dans le viseur à mesure que vous faites la mise au point sur un élément de plus en plus proche.
 

Les avantages  

  – Économie d’énergie : ce n’est qu’un détail, mais on limite tout de même la consommation d’énergie. Pour avoir utilisé les différents types de viseurs, l’écart est sensible sur une journée avec de vieilles batteries comme les miennes.
 
  – Vision naturelle : nous voilà dans une affaire de goût. L’âge du photographe de rue doit jouer un rôle. Lorsque l’on est habitué à l’œilleton optique par l’utilisation des différents repères de cadrage, le passage à une version numérique peut fortement gêner la pratique dans la rue.  
 
  – Contexte élargi : c’est dans ce contexte que réside l’avantage de ce type de viseur pour le photographe de rue.  
Il permet de voir au-delà du cadre de la photo !  
Par conséquent, vous devancez les individus qui entrent ou sortent du cadre. Chose que vous ne pouvez pas faire avec un viseur numérique englobant toute la surface. Terminé le bout de pied ou la partie de jambe qui surgit juste au moment de shooter !
 

Les inconvénients

Couverture partielle du cadre : 
 Viseur de type Galilée inversé avec affichage électronique d’un cadre lumineux et grossissement : Viseur de type Galilée inversé avec affichage électronique d’un cadre lumineux et grossissement de 0,5× environ ; couverture d’environ 92 %.  
Manuel du Fujifilm  
C’est ballot, mais la photo prise sera un tout petit peu plus grande que vous ne l’espériez !  
Le bout de chaussure peut surgir une fois rentré à la maison !  
Cela ne vient pas de vous juste du type de viseur utilisé. Je suis bien incapable de vous en donner la raison et de toutes les façons, on s’en fout !
 
 – Le viseur optique ne sait pas à loucher : la machine n’est pas conçue pour faire de la macro. Donc si vous vous approchez encore et encore de la jolie petite bestiole, le cadre n’arrive pas à loucher suffisamment.  
Conséquence, le cadrage sera à ch..  
Là aussi, je m’en fous, je ne photographie pas les bestioles, sauf mes chats.  
 
Le viseur optique n’est pas électronique : une évidence, mais juste pour affirmer que vous ne verrez pas directement les conséquences de l’utilisation des films Fuji, les effets de la balance des blancs ou de l’exposition.

Le viseur électronique EVF : Electronic View Finder 

Vous possédez dans votre viseur d’une petite télévision !  
Bon, ce n’est pas un écran de cinéma, mais ça le fait.   
Fuji nous annonce un panneau OLED de 3,69 millions de points.  
Je suis incapable de vous dire si c’est bien ou pas.   
À l’utilisation, cela me convient tout à fait.  
L’idée de ce viseur est d’offrir une vue du résultat plein cadre !  
Allez, je vous liste des deux ou trois points que je trouve sympas.  
 

Avantages :

 
œil de lynx pour l’exposition : L’EVF affiche en temps réel l’exposition, la balance des blancs et les effets des réglages. Mais aussi le rendu des différentes pellicules utilisées.  
De mon côté, je vois la vie en noir et blanc, j’utilise régulièrement l’Astra avec filtre jaune.  
En ajustant l’exposition, le changement se produit immédiatement. Une bonne manière de gérer votre exposition en gardant l’œil dans le viseur au lieu de l’écran qui possède la maladie de capter tous les reflets de passage.  
 
Mise au point facilitée : J’ai activé le focus parking sur la bête.  
Késako ?  
Sur l’image numérique, le bord des lieux où la mise au point est réalisée va briller dans une couleur que vous pouvez choisir. Ainsi, vous connaissez en direct les endroits où la mise au point est tip top.  
Lorsque vous êtes en mise au point manuelle en hyperfocale, vous pouvez vous vérifier votre distance de mise au point très rapidement.
D’autres outils sont disponibles comme le télémètre version numérique, ou le prisme de nos vieux boitiers. 
 
Informations en surimpression : Évidemment, toutes les informations dont vous avez besoin restent visibles en surimpression.  
À l’utilisation, cela ne me gêne pas lorsque je dois composer. Je l’oublie.
 

Les choses qui fâchent sur EVF :

 
Il freeze : De temps en temps, j’ai l’image de mon viseur Fuji X100VI « freeze ». Le logiciel interne est à jour, rien de particulier n’est en cours.  
Je ne sais vraiment pas d’où provient ce problème.  
En général, il disparait comme il est apparu.   

Mais comme cela m’énerve un peu, je fais un reset en éteignant et rallumant mon boitier et je repars du bon pied.

La consommation : Même si les piles durent longtemps et que la recharge est rapide, il est indéniable que les écrans dépensent de l’énergie.   
Vous avez la possibilité d’activer le viseur électronique avec la détection de votre œil.  

Cela fonctionne très bien, et vous gardez quelques électrons sous le coude pour la fin de la sortie photo si vous avez oublié vos accumulateurs de rechanges.  

Dans la nuit noire : J’affirmais plus haut que la qualité du viseur ERF me convenait, donc je dois y ajouter un bémol. Lorsque vous opérez dans de très basses lumières, le bruit numérique surgit.  
Et il fait du boucan le bougre !  
Je me suis aperçu que je passais sans y faire attention au viseur optique. 

Le viseur bizarre ERF : Electronic Range Finder 

L'exemple-de-Fuji-pour-L'ERF
Le viseur Fuji X100VI, tout comme ceux des X100V et X100F proposent également une fonction «Electronic Range Finder» (ERF) qui permet d’afficher simultanément un petit EVF dans le coin du viseur optique (OVF).  
Vous êtes en viseur optique et une petite fenêtre apparait en bas à droite.  
Pourquoi cette bizarrerie ?  
La démarche générale de Fuji avec cet appareil est de se donner une expérience utilisateur (je parle bien marketing, non ?) proche des boitiers télémétriques.  
On retrouve, des bagues de diaphragme, des sélecteurs de vitesse et de sensibilité comme au bon vieux temps.  
Restait à trouver une version informatique d’un télémètre.  
L’ERF est là pour ça.  
Malheureusement, au lieu de le mettre au milieu en gardant une transparence avec le viseur optique (oui, je sais, ça doit être infernal à créer), on le retrouve en bas à droite avec la possibilité de faire des grossissements.

Dommage, on aurait pu avoir l’expérience d’un vrai télémétrique !

Pour l’activer le mode ERF du viseur Fuji X100VI

Vous devez être en mode OVF (optique). Pour rappel, œil dans le viseur, la bascule vers la droite du sélecteur alterne les versions EVF (électronique) ou OVF (optique).  
Donc, vous êtes en mode optique. Maintenant vous poussez le levier vers la gauche.  
Apparait en bas à droite le petit carré magique.  
Si vous souhaitez grossir la partie ERF, appuyez une, deux ou trois fois sur la molette arrière droite du boitier.  
Attention, tout cela ne fonctionne qu’en mode manuel !
 

Avantages :  

 
  – Mise au point précise : Allez, je vais être gentil. Cette combinaison permet de bénéficier de la vision naturelle de l’OVF tout en ayant une vue agrandie de la zone de mise au point grâce au mini EVF, facilitant ainsi une mise au point manuelle précise avec l’option télémètre, prisme ou points de couleur.   
Vous possédez trois niveaux de grossissement de la zone de mise au point.  
 
  – Tout-en-un : Vous êtes réfractaire au viseur numérique, mais vous lui reconnaissez des bienfaits ?  
L’option ERF serait-elle faite pour vous ?  
À vous d’essayer.
 

Les bugs :

Je ne suis pas le seul : je suis rassuré sur mon niveau de compréhension.   
En clair, je ne suis pas le seul à la ramasse.   
D’après le site photo dpreview plusieurs personnes ont des difficultés pour activer le viseur ERF.  
Certaines pensent à un problème matériel (comme moi), d’autres envisagent qu’elle ne fonctionne que pour certains modes …  
Toutes les options y passent !  
J’ai testé avec mon boitier qui est un Fuji X100V. Il n’y a pas à ma connaissance, d’évolution sur le Fuji X100VI.  

L’ERF est une aide à la mise au point. Donc, si vous êtes en autofocus, passez votre chemin ! Cela ne fonctionne pas. 

Mise au point pas si facile : Si vous utilisez la fonction télémètre de mise au point, vous devrez ajuster deux parties dans le plan de netteté. Malheureusement, vous devrez regarder en bas à droite et vous concentrer sur la minuscule partie qui vous importe dans l’image.  
Autant vous dire que c’est c…  
Afin de pallier à ce désagrément, Fuji vous propose d’appuyer sur la molette arrière pour se concentrer sur la partie de mise au point.  
Deux grossissements sont proposés par appui successifs.  
Là c’est mieux, mais entre l’œil qui est en bas et le sujet au milieu, le grossissement est tel, que l’on ne sait plus ce que l’on vise.  
  
En clair, si rien ne bouge et que vous avez le temps, utilisez-le.  
Autant vous dire qu’en photo de rue, la fonction reste dans l’imaginaire des innovations marketing.
 
Le tour de la maison vous a-t-il plu ?  
Maintenant que vous êtes un spécialiste de l’œilleton du Fuji X100VI, il est tentant de se poser la question : quand l’utiliser?  
  
Vous êtes OK avec cette proposition ?  
Alors on y va.  
  

Comment choisir son type de viseur Fuji X100VI

Dessin d'un petit bonhomme photographe

Bien sûr !
Approfondissons l’utilisation du viseur Fuji X100VI .
 
Le viseur hybride de la famille des versions du Fuji X100T au Fuji X100VI permet de basculer entre un viseur optique (OptiqueVF) et un viseur électronique (ElectonicVF), avec une option dans le cas de l’OVF d’un rappel du secteur de mise au point en électronique (ERangeFinder).
 
Les conditions de prises de vue sont tellement différentes entre les scènes familiales ou de vacances jusqu’à la photo de rue qu’il est difficile de donner des indications strictes.  
Considérez ce qui suit comme une tendance et laissez libre cours à votre plaisir et à votre inspiration en choisissant le viseur qui vous convient le mieux.
 
Conseils d’utilisation possibles :
 
Scènes lumineuses : En plein soleil, l’OVF peut offrir une meilleure visibilité sans reflets, tout en économisant la batterie. Mais vous possédez l’option de modifier les réglages de l’EVF en luminosité, contraste et bien d’autres secteurs.  
 
Contrôle de l’exposition : Dans des conditions d’éclairage complexes ou pas, l’EVF permet de vérifier précisément l’exposition et les effets des réglages en temps réel.   
Personnellement, j’utilise souvent ce mode car il me permet d’ajuster « à l’œil » l’exposition de la scène avec la molette de correction.  
 
Photographie de rue : L’OVF permet de voir au-delà du cadre, aidant à anticiper les mouvements des sujets et à capturer des moments spontanés.  
Dès que cela commence à bouger un peu et que j’attends un personnage dans une composition, le viseur optique est imbattable pour moi.  
 
Mise au point manuelle : Le mode ERF est destiné pour une mise au point manuelle précise, en offrant une vue agrandie de la zone de mise au point tout en conservant la vision globale de la scène.  
J’ai abandonné son utilisation. J’utilise en mode manuel le « back button focus » (en français, le petit bouton à l’arrière pour la mise au point) et l’hyperfocale.   
La solution aurait pu être intéressante avec une option numérique du télémètre au centre.  
 
J’ai envisagé d’utiliser l’ERF pour contrôler l’exposition et les surexpositions. Malheureusement, les allers-retours en bas à droite sont trop longs et déconcentrants. Si vous avez d’autres utilisations du mode ERF, je suis curieux de les tester. Ajoutez-les en commentaires.
 
Cela fait longtemps que nous sommes ensemble ?  
Allez, on récapitule avant de sortir le boîtier.

Le bilan du viseur Fuji X100VI

J’ai rédigé cet article car je n’ai pas trouvé grand-chose sur les différents viseurs de la gamme Fuji X100 et surtout sur l’ERF qui m’a causé une belle angoisse.  
Bon, je ne suis pas le seul à l’avoir découvert tardivement.
 
Donc depuis la version « T », trois viseurs officient sur le Fuji X100VI : 
 
L’OVF (Optique View Finder), le bon vieux viseur de nos grands-pères.  
Pratique et économe, il est imbattable pour surveiller une scène de rue. On ne peut être certain de la mise au point mais l’utilisation de l’hyperfocale limite beaucoup le problème pour prendre à la volée la première image.  

Rien ne vous empêche d’appuyer sur le bouton de mise au point sur une zone précise pour la deuxième image.

L’EVF (Electronic View Finder). Vous retrouvez l’écran arrière de votre boîtier directement dans le viseur.  
À vous la visualisation de tous les réglages que vous utilisez : type de film, exposition, balance des blancs, etc.  
De petits pixels colorés signalent les zones de mise au point correct.  

Tout est pour le meilleur des mondes si ce n’est une consommation un peu plus élevée que vous pouvez diminuer en utilisant l’activation lorsque votre œil se présente à l’œilleton.

L’ERF (Electronic Range Finder). Accessible depuis l’OVF en basculant le levier vers la gauche, une petite fenêtre surgit en bas à droite. 3 grossissements sont utilisables en appuyant sur la molette arrière (suivant la personnalisation de votre boîtier).  
L’idée marketing de faire le meilleur des deux mondes de l’optique et de l’électronique n’atteint pas son but pour moi.  
Trop petit pour visualiser l’exposition de la scène, le grossissement est trop important et je suis trop éloigné du centre du viseur. Je n’ai donc pas pu m’assurer de la mise au point, alors j’ai abandonné.  
Si vous l’utilisez en photo de rue avec plaisir, je suis curieux de connaitre les conditions dans lesquelles vous l’activez.  
 
Voilà, voilà, nous avons fait le tour de la bête !  
Pour aller plus loin, faites un tour sur les réglages du Fuji X100V, il n’y a pas beaucoup de changement avec les autres versions .
Vous êtes utilisateur d’un Fuji X100 (S, T, F, V ou VI), je suis curieux d’avoir vos ressentis sur les qualités des différents viseurs en commentaires.  

4 commentaires sur “Le viseur Fuji X100VI, le X100V, F ou T”

  1. Bonjour Bruno,
    Ton article m’a bien fait sourire. Contrairement à toi, j’adore lire les modes d’emploi et notices en tout genre de mes appareils tels que aspirateur, lave-linge, voiture et tondeuse à barbe… La lecture du mode d’emploi des Fujifilm n’est pas des plus facile mais elle est pleine d’infos insoupçonnables a la seule manipulation de l’appareil.
    Je possède le X100S qui n’a pas le ERF mais j’utilise aussi mon Xpro2 de 2017 qui lui a ce dispositif. J’avoue l’apprécier et l’utiliser souvent.
    C’est toujours un plaisir de lire tes articles toujours passionnants et pleins d’humour.
    Merci à toi.

    1. Bonjour Denis,
      Je sais maintenant à qui demander si j’ai un problème de mode d’emploi…😉
      L’utilisez-vous en photo de rue ?
      N’est-ce pas génant de l’avoir en bas à droite ?

  2. Je vais faire des essais, merci pour ces explications.
    J’avais trouvé l’utilisation de ce petit écran mais pas encore essayé
    Cordialement

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