
Workflow Lightroom mobile : sécuriser vos photos en vacances
Dans cet article, nous allons découvrir comment utiliser uniquement Lightroom Mobile en vacances pour retrouver tous vos Raw dans la version Classic à votre retour.
Mes fréquents voyages sur Paris pour l’expo de fin septembre m’ont permis de profiter des expositions disponibles dans la capitale.
Même si en province, beaucoup de ville et de régions se défendent bien, Paris reste par la proposition en volume incontournable.
J’ai ainsi pu découvrir la rétrospective sur Yasuhiro Ishimoto au BAL.
Double trouvaille !
La première, ce sont les excellents tirages de l’auteur, dont j’avais eu un avant-goût lors de l’achat du livre sorti pour l’occasion.
Une magnifique scénographie de Cyril Delhomme met en valeur ces tirages.
La deuxième est l’endroit, qui existe depuis 2010, et que je ne connaissais pas. Voilà qui montre bien que je suis à la ramasse !
Je dois dégoter absolument une newsletter ou autre, m’informant sur ce genre de lieu. Je viens de m’abonner au Podcast FranceFineArt qui annonça l’exposition.
Si vous possédez un plan pour ne rien rater, partagez-le en commentaire !
Cela fera des heureux.
J’étais loin d’imaginer que cette visite allait me propulser dans un univers qui envahit mes lectures depuis quelques semaines.
C’est un petit bout de fil que je m’évertue à tirer, me fait entrevoir une norme pelote de ressources photographiques, artistes, galeries, documents et réflexions.
Tout cela ne peut que contribuer à me faire progresser et je vous propose de les partager avec vous.
Je vous dessine la carte routière de mes méditations du moment qui vont fournir une bonne partie des éléments de ce billet sur Yasuhiro Ishimoto.
Commençons par le livre de l’expo
À sa lecture, je découvre Agathe Cancellieri, historienne de la photographie, spécialiste de l’École de Chicago.
Je connaissais, l’école de Dusseldorf, l’école de New York, voilà maintenant celle de Chicago !
Et hop, on jette un coup d’œil aux ressources disponibles sur le sujet que j’ai largement utilisés :
– Expérimenter dans la rue. Chicago photographié par les élèves et les professeurs de l’Institute of Design (1946‑1969)
– Traditions et nouvelles visions américaines
– Une nouvelle vision américaine : le département photographique de l’Institute of Design à Chicago de 1946 à 1972
Mais continuons au delà de la lecture.
Parmi les artistes que je connaissais déjà (Siskind, Callahan, …) débarque une exposition à la Galerie Rouge sur Kenneth Josephson et une autre sur Barbara Crane au Centre Pompidou.
N’en jetez plus !
Allez, commençons par Yasuhiro Ishimoto.
Vous me suivez toujours ?
Alors on y va !
De toutes les façons, il fait moche dehors; autant continuer l’article.
Comment ?
Pour cela, il est nécessaire de revenir à l’origine du concept du Bahaus au début du siècle initié par Walter Gropius.
Il s’inspire des loges médiévales rassemblant architectes, sculpteurs, artisans… afin de constituer une communauté de travail.
«Formons donc une nouvelle communauté d’ouvriers, dépourvue de l’arrogance de cette division en classes qui souhaite établir un mur d’orgueil entre les artisans et les artistes.
Concevons, élaborons et créons en commun la construction nouvelle de l’avenir qui embrassera tout en une forme unique, l’architecture, la sculpture, la peinture (…)» Walkter Gropius
Les enseignants sont appelés «Maître de forme» et «Maître artisan».
Ce rôle était occupé par des enseignants qui guidaient les étudiants sur le plan de l’esthétique, des concepts artistiques et de la théorie de la forme. Leur objectif était de développer le regard des étudiants, leur sensibilité artistique, et leur compréhension des éléments de base de la création (couleurs, formes, lignes, textures, etc.). Ils aidaient les étudiants à comprendre et expérimenter la nature des formes et à maîtriser les principes visuels, une approche très centrée sur la perception et l’exploration.
Ce rôle, en revanche, était davantage orienté vers la technique et la pratique artisanale. Les maîtres d’atelier étaient des spécialistes des matériaux et des méthodes de fabrication, guidant les étudiants dans la maîtrise de compétences pratiques comme le travail du métal, du bois, ou du verre ou la photographie selon l’atelier.
L’idée était d’encourager une compréhension directe et physique des matériaux, et de donner aux étudiants les outils pour transformer les idées esthétiques et formelles en objets concrets.
Mais pas que…
L’éducation en sciences humaines, appliquées, mathématiques, physiques et sociologie, entre autres, est proposée pendant les années universitaires.
Les journées devaient être légèrement bien remplies.
Pour faire simple, je vais me concentrer sur la partie photographie.
Les élèves débutent en apprentis, puis compagnons et peuvent devenir maîtres et débuter une carrière d’enseignant.
Les débuts pour les apprentis sont déconcertants.
La première année est celle du cours fondamental, les élèves expérimentent par la pluridisciplinarité des pratiques. Le dessin, la sculpture ainsi que la photographie sont au programme.
L’objectif est de découvrir son expression personnelle et en aucun cas imiter le professeur.
Pas besoin d’agrandisseur, une pièce sombre et en avant Guingamp !
Durant la seconde année, les élèves obtiennent une plus grande liberté d’interprétation des exercices donnés : les problèmes.
Les problèmes ? Quésaco ?
Patience, on abordera le sujet sous peu.
« Il y a cette idée, on forme initialement à la géométrie du monde ou de la création et on développe son talent personnel p
Car le plus important n’est pas de copier ou d’hériter du savoir des autres comme dans une académie, mais plutôt au contraire de trouver en soi la chose qui va s’imposer de manière singulière dans le langage du médium. »
Diane Dufour
Harry Callahan fait alors son entrée !
Mais non, pas l’inspecteur Harry des films de Clint Eastwood.
Celui dont je veux vous parler réalise ce genre de petites choses.
Harry Callahan est une figure de la photographie américaine au même titre qu’Aaron Siskind, dont nous avons déjà parlé dans l’article sur l’histoire de la Street Photo.
Pour la bonne bouche, une petite photo d’une façade de Chicago prise par Aaron Siskind.
Callahan intègre l’Institute of Design of Chicago dans les années 50 comme enseignant.
Allez, une petite citation du grand Callahan qui résume bien la formation reçue par Ishimoto :
C’était un programme fondé sur l’ignorance. L’important était de découvrir.
Harry Callahan
Harry va mettre ses élèves à la rue avec les exercices qu’ils réalisaient dans les ateliers de l’école. Il désire qu’ils confrontent la grammaire visuelle qu’ils ont apprise avec le mouvement de la rue, les paysages de neige (toujours galère à prendre en photo comme le couple de mariés).
Débutons, par un outil très utilisé durant les séances en studio, j’ai nommé :
L’exercice du modulateur de lumière qui consiste à réaliser des sculptures
de papiers en trois dimensions dans l’atelier de sculpture puis à les photographier.
Fruit du travail en commun, il fut inventé par un élève.
Inventée par l’élève Nathan Lerner au cours de sa première année d’études au New Bauhaus en 1937-1938, elle se présente comme une boite en carton dont les côtés ont été perforés. Ces ouvertures sont utilisées pour suspendre des objets à l’intérieur et servent également à faire entrer une source lumineuse qui se réfléchit sur les objets et crée des images faites d’ombres et de lumières.
Agathe Canciellieri, expérimentez dans la rue. Chicago photographié par les élèves et les professeurs de l’Institute of Design (1946‑1969)
Tout simple, me direz-vous ?
Oui, mais c’est terriblement efficace pour sculpter la lumière et créer des volumes.
Jugez-en vous-même.
En plus des photogrammes et de la boite à lumière, le prisme qui permet la décomposition de la lumière faisait partie des éléments du studio des premiers temps.
Attaquons les autres problèmes dont je vous ai parlé un peu plus haut.
Ils avaient pour but de faire toucher du doigt les propriétés de la photographie, la lumière, le contraste, le multiple, le volume, le mouvement mais aussi ce que nous connaissons de moins en moins : le développement.
Si vous avez un peu pratiqué le laboratoire, vous connaissez le petit jeu consistant à poser sa main sur la feuille durant l’exposition puis à révéler le résultat.
Ici c’est la même chose.
Cela permet de découvrir les notions de temps d’exposition sur le niveau de gris, la diffusion par la hauteur du sujet et bien d’autres choses avec des caches troués par exemple pour focaliser le rayon lumineux.
Pas dégueu le résultat !
Je me demandais comment il avait pu créer cette image.
J’imagine une méthode :
La lumière passe à travers un profil découpé dans du carton.
Ce que je ne m’explique pas, ce sont les diffusions qui augmentent lorsque la taille diminue.
Ce qui semble pas possible avec un seul masque.
Plus on augmente la distance entre le masque et la feuille, plus la diffusion augmente mais aussi la taille !
Ici c’est l’inverse.
Les pros du labo, si vous avez une idée, je suis preneur…
Cet exercice est une déclinaison du light drawing, les élèves photographiaient les traces laissées par un rayon lumineux en mouvement.
On connait, cela se fait toujours…
Ici, il faut faire deviner la forme ou sa forme déformée à partir de son ombre.
Bel exemple avec cette image de 1948-1952, l’homme devient sa propre ombre !
Ou plus simplement en français : le contraste maximum.
En explorant les défis liés au négatif, à l’exposition et au développement, Callahan cherche aussi à éveiller une sensibilité artistique chez l’élève.
Il utilise pour l’exercice du «gamma infinity problem» – qui consiste à développer une pellicule sous-exposée pendant deux heures ou plus – et le «water-bath problem», une technique pour tirer le meilleur d’un sujet très contrasté en vue d’en révéler tous les détails.
Deux heures !
J’ai fait quelques expérimentations avec mes négatifs, mais là, je suis sur le c..
L’idée est que plus le temps de développement est long, plus le négatif est dense.
Mais deux heures !
Je vous promets d’essayer un jour…
Le développement devient alors un moyen de réinterpréter l’image et de lui donner une touche unique.
Pour cet exercice, l’élève doit photographier le même sujet, selon la même composition, avec trois expositions différentes : une sous-exposée, une surexposée et une équilibrée entre les deux.
Cette méthode, qui existait déjà avant Callahan, met en évidence l’impact des tonalités sur le résultat final.
Callahan pousse ensuite ses élèves à choisir le meilleur tirage, non pas sur des critères purement techniques, mais en s’appuyant sur leur sensibilité visuelle pour déterminer lequel capture le mieux l’essence du sujet.
Un bon exemple de cet enseignement est celui de Merry Renk, qui a photographié un morceau de bois échoué sur des dunes dans l’Indiana, au sud de Chicago. Elle choisit d’abord un tirage équilibré, où elle retrouve une large palette de gris, de noirs et de blancs.
Mais Callahan l’oriente vers la version surexposée, qu’il trouve plus poétique et délicate.
Elle en retire une grande leçon :
« Il m’a appris à voir avec l’œil d’un photographe créatif. Il m’a expliqué pourquoi ce tirage, avec sa ligne lumineuse, révélait une plus grande beauté pour ce paysage, parce qu’il transformait le morceau de bois en ligne de dessin lumineuse. »
Merry Renk
Il consiste à photographier en macro d’éléments urbains afin d’en révéler les tonalités et la structure.
Portes en bois, affiches lacérées, etc.
Allez, quelques exemples
Le problème est tout simple et assez connu.
Il s’agit de photographier par exemple le vent, ou les traces laissées par celui-ci sur l’environnement.
Un petit exemple sorti du bouquin :
Pensez aussi aux rides laissées sur un lac ou un fleuve.
Alors ?
Prêt pour tenter quelques exercices à la manière du New Bauhaus ?
Difficile ?
Mais non!
Dans tous les cas, après ces exemples, je suis certain que lors de l’édition ou des prises de vue, une idée va surgir et vous faire voir autrement.
Si vous désirez découvrir d’autres exercices ou photographes (ça vaut le coup), je vous conseille :
Une nouvelle vision américaine : le département photographique de l’Institute of Design de Chicago, de 1946 à 1972.
« Au Japon, les notions de temps et d’espace sont unies dans un seul concept traduit par le mot ma… Il n’existe aucune différence entre les deux notions de temps et d’espace telles que les perçoivent les Européens…Ce concept est le fondement même de l’environnement, de la création artistique et de la vie quotidienne au point que l’architecture, l’art, la musique, le théâtre, l’art des jardins sont tous appelés des arts ma. »Roland Barthes
En découvrant le Ma dans les photos de Yasuhiro Ishimoto, on plonge dans une toute autre vision de l’espace et du silence entre les formes.
Un partage de cet article pourrait offrir à d’autres une porte d’entrée vers cet univers.
Allez, un bon geste…
Non ?
Alors en route, pour le Ma et la fin du billet !
On décrit souvent Yasuhiro Ishimoto comme un photographe « visuellement bilingue », capable de naviguer entre deux mondes : celui de sa culture japonaise d’origine et celui de la culture occidentale, en particulier l’influence du Bauhaus.
Mais comment ces deux influences se manifestent-elles dans son travail ?
Et comment ont-elles contribué à sa renommée ?
D’abord, comprendre que le parcours de vie d’Ishimoto a façonné sa manière de voir le monde s’avère important. Né aux États-Unis, élevé au Japon, puis formé en photographie à Chicago, à l’Institute of Design.
Deux cultures opposées ont influencé Ishimoto: le Japon, avec son esthétique minimaliste, son respect de l’espace et du vide (Ma), et l’Occident, avec l’héritage du Bauhaus et ses principes modernistes de lignes, de formes géométriques et de composition rigoureuse.
Cela a façonné sa démarche technique.
Par exemple, dans ses séries sur la ville de Chicago, il applique une rigueur formelle qui rappelle le Bauhaus : des lignes nettes, des contrastes puissants, une composition géométrique.
Il attache beaucoup d’importance au vide et au mouvement, ce qui évoque la notion japonaise du Ma.
Cette capacité à naviguer entre les deux mondes se reflète aussi dans ses interactions avec ses contemporains.
Aux États-Unis, des photographes comme Harry Callahan et Aaron Siskind l’influencent, qui encouragent une approche abstraite et formelle de la photographie.
En rentrant au Japon dans les années 1950, après une longue absence, il choque les photographes japonais avec son style considéré comme « froid » et trop géométrique.
Il montre aux photographes japonais que la photo peut se passer de narration et d’émotions.
Au lieu de cela, il propose une photographie plus subjective, centrée sur l’esthétique et la composition qui inspireront la photographie japonaise.
Yasuhiro Ishimoto a su, au fil de sa carrière, transformer la photo en un véritable pont entre deux cultures et deux approches artistiques.
Son regard, nourri par la rigueur du Bauhaus et la subtilité du concept japonais du Ma, inspire encore aujourd’hui les photographes à chercher une vision personnelle et à dépasser les limites de la représentation.
À travers ses compositions harmonieuses où se rencontrent formes géométriques et vides pleins de sens, il a montré comment un cliché peut révéler une réalité plus riche.
Si vous souhaitez vous lancer dans une exploration à la manière d’Ishimoto, pourquoi ne pas commencer par un exercice inspiré de sa formation à l’Institute of Design ?
Imaginez une série de photos autour des éléments de votre quotidien urbain, en jouant sur les lignes, les formes, et surtout les espaces vides.
Pensez aussi à laisser la lumière guider votre composition, comme dans les rues de Chicago où Ishimoto trouvait des théâtres de lumière dans chaque coin du Loop.
Et si vous souhaitez approfondir le sujet, prenez le temps d’apprivoiser le concept du Ma. Entraînez-vous à laisser respirer vos images, en cherchant à capturer l’essence d’un lieu ou d’une scène sans nécessairement tout remplir.
Laissez de la place aux ombres, aux nuances, et aux silences dans vos compositions. Parfois, ce que l’on omet est aussi puissant que ce que l’on capture.
De ce côté aussi, j’ai des progrès à faire…
Dans cet article, nous allons découvrir comment utiliser uniquement Lightroom Mobile en vacances pour retrouver tous vos Raw dans la version Classic à votre retour.
La street photography, de son histoire à l’editing, en passant par le droit à l’image. Cet article reprend les principaux éléments pour débuter sereinement.
L’histoire de la street photography commence avec la Photo League de New York et les expos du MoMA comme « New Documents », qui ont marqué l’inauguration de ce nouveau genre.
Pourquoi réutiliser un flash vintage manuel ? Oubliez les automatismes modernes et redécouvrez la formule du nombre guide. Avec un peu de pratique, vous serez armé pour des expériences créatives.
En partant des besoins de la street photo, plongez dans des configurations optimales pour le Fujifilm X100V.
Une méthode adaptable à d’autres boîtiers, faisant de cet article une ressource pour affiner les paramètres de votre appareil.
Le droit à l’image est le principal problème en street photography. Apprenez comment être au clair avec ce droit partout dans le monde.
L’hyperfocale est particulièrement efficace en street photography.
Mais comment le régler en argentique et en numérique ?
Ses avantages et quand l’utiliser ?
Les erreurs à éviter…
Yasuhiro Ishimoto, photographe d’origine japonaise, a navigué entre deux cultures, celle du Japon et celle des États-Unis. Sa formation à l’Institute of Design de Chicago a favorisé une compréhension de la lumière, des formes et de l’espace, intégrant la notion japonaise de « Ma » dans sa vision artistique.
Il est temps de travailler ses photos. La solution : un editing photo pour trier, classer, organiser et passer un cap important en photo.
Yasuhiro Ogawa, photographe japonais, compile 27 ans de travail argentique dans son livre. Ses clichés poétiques et intimes révèlent la beauté des détails quotidiens, entre ombre et lumière.
Connaissez-vous le Viseur Fuji X100VI ? Trois types (OVF, EVF et ERF) sont communs à toutes les versions depuis le X100T ?
Quels sont les avantages et lesquels devez-vous utiliser?
Les différents outils et méthodes de mesure de la lumière, leurs utilités mais aussi leurs difficultés d’application en photo de rue.
Mes premières impressions sur le Fuji X100VI depuis le train qui me mène dans le sud-est de la France.
La photographie de rue est un art de l’instant, où chaque seconde compte. Fixer vos ISO photo, notamment à 400, peut sembler une contrainte, mais c’est en réalité une simplification qui libère votre créativité.
Prendre le temps, ralentir, et à force de ralentir, s’arrêter. Si le lieu est propice, avec un décor comme un mur métalique géométrique, une ouverture bizarre ou une particularité, ouvrez l’œil vous êtes sur un spot !
J’ai perdu mon œil. Il s’est échappé, effrayé par la dureté de la vie. Je dois le retrouver. Je vais l’approcher doucement, lentement, avec délicatesse pour lui proposer de continuer sa route avec moi et mon appareil photos.
Le 6 juin 1944, 530 photo-reporters, cameramen et écrivains immortalisent le débarquement. Leurs récits et images capturent l’intensité de ce jour historique, offrant une perspective unique sur l’événement.
Sujet rarement traité, la manière de viser avec son appareil photo a son importance dans le rapport que l’on désire mettre entre soi et son sujet. Pour ma part, je suis un adepte de la visée ventrale et voilà pourquoi …
Harold Feinstein, pionnier de la photographie de rue, captura New York avec authenticité. Ses photos de Coney Island révèlent la vie urbaine sous un angle touchant et vibrant.
Vous allez enfin découvrir comment choisir un objectif photo. Vous découvrirez, en outre, la notion de distance du photographe.
L’histoire de la street photography commence avec la Photo League de New York et les expos du MoMA comme « New Documents », qui ont marqué l’inauguration de ce nouveau genre.
L’hyperfocale est particulièrement efficace en street photography.
Mais comment le régler en argentique et en numérique ?
Ses avantages et quand l’utiliser ?
Les erreurs à éviter…
Pourquoi réutiliser un flash vintage manuel ? Oubliez les automatismes modernes et redécouvrez la formule du nombre guide. Avec un peu de pratique, vous serez armé pour des expériences créatives.
En partant des besoins de la street photo, plongez dans des configurations optimales pour le Fujifilm X100V.
Une méthode adaptable à d’autres boîtiers, faisant de cet article une ressource pour affiner les paramètres de votre appareil.
Dans cet article, nous allons découvrir comment utiliser uniquement Lightroom Mobile en vacances pour retrouver tous vos Raw dans la version Classic à votre retour.
Le droit à l’image est le principal problème en street photography. Apprenez comment être au clair avec ce droit partout dans le monde.
La street photography, de son histoire à l’editing, en passant par le droit à l’image. Cet article reprend les principaux éléments pour débuter sereinement.
34 trucs pour prendre des photos originales. Table des matières 1 ou 2 photos originales par mois et je suis aux anges ! Je suis toujours désespéré lorsque je découvre
Vous n’êtes pas un âne, alors cessez de transporter tout votre barda en voyage photo. Faites de la Street photography et voyagez léger.
Prendre le temps, ralentir, et à force de ralentir, s’arrêter. Si le lieu est propice, avec un décor comme un mur métalique géométrique, une ouverture bizarre ou une particularité, ouvrez l’œil vous êtes sur un spot !
Enfin, une méthode facile pour réussir ses photos de rue. En route pour la règle des 3 « F » en photo de rue !
Rouge c’est quel gris ? Voilà une question qui est loin d’être anodine. L’absence de réponse nous prive de la possibilité de voir en noir et blanc. De plus, elle tire, a elle toute seule, la technique et des questions essentielles sur la photographie, la recherche du réel, la démarche du photographe.
Martin Parr l’adore !
Découvrez les 13 conseils photo de Tony Ray-Jones pour améliorer vos compositions ainsi que votre relation au sujet. Conseils pratiques inclus
La ville fourmille de petits coins propices à la pratique de la photo de rue.Je vous présente un de ceux que j’utilise de plus en plus. L’endroit est magnifique, avec une belle lumière pour la photo noir et blanc. Il illustre admirablement le F de Fishing de l’article sur les 3 règles de la street photo.
« Si vos photos ne sont pas assez bonnes, … » L’occasion de comprendre pourquoi Robert Capa plongeait dans l’action.
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