Le Leporello : une belle approche pour vos séries photo
Cela faisait longtemps que l’idée me trottait dans la tête. Le leporello, ce petit livre-objet que l’on déplie comme un accordéon, m’attirait depuis un moment.
Mais entre l’envie et le passage à l’acte, il y a parfois un monde.
Jusqu’au jour où j’ai eu entre les mains un bel exemplaire imprimé sur un véritable papier fine-art, au joli toucher, avec des noirs profonds.
Je ne vous dis pas le kiff ! On ouvre la pochette, on retire la bande de papier qui l’entoure. Et là, on entre en contact avec le papier. Du beau papier, pas celui d’une imprimante de bureau. Un vrai papier, avec du grain, de la tenue, la classe !
On déplie le leporello religieusement, pas le moment de l’abimer.
Première interrogation : dans quel sens l’ouvrir ? De gauche à droite, ou dans l’autre sens ? On se lance. Et l’on découvre, une à une, les images.
Rien à voir avec un scroll sur Instagram en pensant à autre chose. Le leporello ne se partage pas. Il s’offre et se découvre.
Il se cache dans sa boîte, blotti dans une pochette cristal.
C’est un objet à part, hors du flux, qui invite à ralentir.
En réalisant le mien, j’ai ajouté quelque chose à mes séries. Et, je dois bien l’avouer, j’ai kiffé à tester, bricoler, me tromper, recommencer.
Un leporello, ça se mérite. Ça demande du temps, de l’attention, un peu de minutie. Tout moi… Non, j’déconne.
Dans ce tutoriel, je vous partage tout le processus : le matériel, le pliage, le choix du papier, et un template Photoshop prêt à l’emploi, même si d’autres logiciels sont possibles. De quoi se lancer, pas à pas, dans la fabrication d’un objet… à part.
D’où vient le nom Leporello ?
L’origine du nom provient du valet de Don Juan dans l’opéra de Mozart : Don Giovanni. Dans l’air du catalogue, Leporello énumère les conquêtes féminines de son maître inscrites par ses soins sur un immense accordéon de papier. De nos jours, les metteurs en scène utilisent un simple calepin.
Le leporello : le mur d’une galerie dans la poche.
Le leporello offre une approche originale pour présenter ses images qui est différente de celles des livres photo classiques. Plutôt qu’un album relié, ce petit accordéon vous invite à découvrir la photographie sous un format rare. Chaque exemplaire devient un tirage limité.
On ne parle pas ici d’une impression en jet d’encre rapidement faite au travail pendant une pause. Non, le leporello est un objet rare, à tirage très limité.
Il oblige à ralentir, à penser la présentation autrement. Chaque étape compte : le choix du papier, la sélection des images, le rythme de la série. On le glisse dans une petite boîte ou dans une pochette cristal, et il devient son petit trésor que l’on transporte facilement. Idéal pour présenter son travail en sortant des sentiers mille fois battus.
Et puis il y a la forme : une suite d’images qu’on déplie comme un accordéon. C’est comme une exposition sur un mur en galerie, mais dans la poche. Votre regard file d’une photo, qui entraîne la suivante comme vous l’imaginiez.
Enfin, se lancer dans un leporello, c’est aussi l’occasion de sortir de sa zone de confort. L’expression m’énerve car elle suppose qu’il faut toujours se faire mal. Je ne fais pas dans le sadomasochisme, la photo est plutôt pour moi un plaisir hédoniste. Mais bon… L’idée consiste à découvrir d’autres contrées. Je préfère.
On part en quête du bon imprimeur, on découvre des papiers, on affine ses choix. Cela fait partie du plaisir : celui de s’investir dans un objet que l’on pourra tenir entre les mains, partager avec quelques proches.
Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est ni très coûteux ni très compliqué à réaliser. Il suffit d’un peu de matériel, d’un gabarit que l’on pourra réutiliser, et de quelques erreurs à éviter. Ça tombe bien, je les ai faites !
Les erreurs !
Voyons ensemble comment faire.
Prêt ?
Comment faire un leporello
1 Faire une première sélection de ses images
Allez, on commence. Ouvrez vos dossiers et plongez dans vos photos. Comme d’hab : des petits tas… Voir l’artice sur l’art de l’editing À garder, mouais, retour à la case départ.
Celles qui nous parlent, celles qui résonnent entre elles, celles qui racontent quelque chose ensemble. Pas seulement les plus belles ni celles avec le moins de défauts techniques. Pour faire simple, tester et encore tester en les mettant les unes à côté des autres.
Deux directions possibles : soit les images se répondent (jeux de formes, de regards, de couleurs), soit elles se complètent (le fameux effet Koulechov). Parfois les deux.
Faites quelques essais, changez l’ordre, imprimez-les en petit format et jouez avec sur la table.
Un petit conseil, la première et la dernière photo seront toutes seules, les autres se découvriront par paires au fil de l’ouverture du leporello.
Au début soit vous n’y arriverez pas, soit vous penserez avoir atteint le Graal. Pas de précipitation ! Photographiez votre résultat (bon ou mauvais) et revenez-y le jour suivant. Comme pour le vin, le temps affine le résultat. L’important, c’est d’avoir un premier élan. Une direction.
Encore un petit conseil : n’essayer pas de vouloir tout mettre. De bonnes photos ne pourront pas y figurer car elles ne s’intègrent pas dans le flux. Pensez-le comme une petite brise, pas le catalogue de la Redoute.
Quand vous commencez à sentir un rythme, une logique visuelle ou narrative, vous tenez quelque chose.
Faire des tests à la maison sur une imprimante A4 pour visualiser la série avant de lancer l’impression pro afin de valider le format du leporello et des photos.
2. Choisir son format
Le format va dépendre des propositions des imprimeurs et… du prix.
Commençons par regarder ce que proposent les imprimeurs.
Picto Online, qui ne l’a pas testé ? Il propose sur son site du 100 cm par 35 cm pour environ 50 euros. Avec le format que j’ai choisi au final, je fais quatre leporellos en découpant dans la longueur.
Ils peuvent même aller jusqu’à 150 cm, mais faites attention au catalogue de la Redoute !
Chez WhiteWall, on monte à 228 cm, mais les tarifs grimpent avec.
Et puis il y a les labos de quartier. Le mien (lebolabo.fr) ne dépasse pas 100 cm sur 35 cm. Avantage, je ne discute pas avec un site internet. Ce sont des professionnels bien plus au fait des possibilités que moi. Ce contact humain vaut de l’or.
Avant d’aller les enquiquiner, faites des tests sur une imprimante A4. Un peu de scotch pour simuler le leporello final. C’est parfait pour vérifier que les photos ne sont pas trop grandes ou trop petites, que le rythme fonctionne.
Le format final que j’ai choisi ? Format de 80 mm sur 80 mm, avec des images ne dépassant pas 60 mm dans leur plus longue dimension. 12 photos à placer sur le 100×35 cm. Compact, mais pas étouffé, enfin j’espère… Facile à manipuler et à transporter.
C’est bien beau tout cela, mais il faut créer le JPEG !
C’est-à-dire créer un fichier aux bonnes dimensions, poser vos images, penser aux repères de pli, aux marges, etc. Bref, c’est le moment de choisir votre logiciel. J’ai largement tâtonné et fait plusieurs essais avec différents logiciels.
Vous me suivez ? On va voir si vous êtes bien équipé.
3. Logiciels pour la mise en page : du pro au bricolé
Voici un petit tour d’horizon.
Les pros, puissants mais chers
Si vous êtes déjà à l’aise avec la suite Adobe, InDesign est clairement la Rolls du genre. Précis, puissant, taillé pour ce type de mise en page. Vous y placerez facilement vos repères, vos calques, vos images.
Plus de 30 € par mois, très peu pour moi et mes finances.
Les presque pros, mais gratuits
Scribus est une excellente alternative libre à InDesign.
Un peu moins sexy, mais on retrouve les mêmes interfaces et principes qu’avec Indesign. Seule ombre au tableau, vous ne pourrez pas utiliser les templates fournis par les imprimeurs au format Adobe. Ça tombe bien, s’ils sont nombreux pour les bouquins, les revues et j’en passe; il n’y a rien sur les leporellos !
Vous pourrez créer un document aux dimensions exactes, y placer des repères, des guides, et disposer vos images avec précision.
Il demande un petit temps d’adaptation, mais rien d’insurmontable.
Les accessibles, parfois un peu limite mais suffisants
Photoshop peut faire l’affaire. Ce n’est pas sa vocation première, mais pour un format simple et quelques repères manuels, ça marche. J’entends d’ici les experts en Photoshop me jeter au pilori ! – « Mais si ! Photoshop est tout à fait adapté pour ça ! » Oui, mais pour la mise en page Indesign est un must. Pour juste un Leporello, qui est une base simple de mise en page; Photoshop suffit amplement. C’est ce que j’ai utilisé.
Vous partez d’un grand document aux dimensions finales, vous ajoutez des traits pour les plis, des guides et vous posez vous images par rapport aux guides, et voilà.
Il y a aussi des solutions en ligne comme Canva ou Adobe Express. Moins précise pour les dimensions exactes des guides ou des repères, mais elles peuvent suffire pour un premier test ou une maquette rapide.
En bref : choisissez en fonction de ce que vous avez sous la main, et de votre envie de plonger dans un logiciel plus ou moins technique. Ce n’est pas l’outil qui fait le leporello, c’est ce que vous y mettez. Maintenant, que vous êtes équipés, en route pour la réalisation d’un livre accordéon.
4. Choisir son format final
Une fois le logiciel choisi, il faut créer votre document aux dimensions exactes d’impression. En ce qui me concerne, j’ai visé un tirage de 100 centimètres sur 35 centimètres, ce qui m’a permis de créer quatre bandes d’accordéons. Pourquoi ? Parce que le labo où je vais propose ce format ! Je dois vous avouer qu’un tirage d’un mètre de long me faisait un peu peur.
Ensuite, j’ai expérimenté. Ce sera le maître mot de cette partie.
Mon idée de départ, c’était un format carré. J’ai d’abord expérimenté avec une taille d’image de 10 cm sur 10 cm. Export sur du A4. Il est trop grand pour mes mains.
Ensuite, j’ai réduit sa dimension à 80 mm sur 80 mm. Le format convenait beaucoup plus à mes menottes. Restait à déterminer la taille des photos.
Autre test avec des photos dont le grand côté faisait 50 mm. Trop petit. Une question me turlupinait : fallait-il que le format en portrait soit le même que le paysage ? Bingo, j’avais gagné un autre test !
Pour terminer, j’ai opté pour des images de 60 mm sur la plus grande dimension, aussi bien en portrait qu’en paysage. Cette taille de la photo laisse 1 cm au minimum de marge. À l’œil, cela me convenait assez.
À cette étape, vous l’avez compris, l’important est d’oser tester encore et encore. C’est bête, mais rien ne vaut la sensation physique pour juger si votre format fonctionne.
Et bien sûr, tout est possible. Si vous rêvez d’un format panoramique, d’un format A5 ou d’un format minuscule, Go!
5. Tracer les repères
Avant de placer vos photos, il faut préparer le terrain.
L’idée consiste à utiliser les repères de Photoshop. Dans Photoshop, le réglage se trouve dans « Affichage » -« Repères »
Un peu de math : Sur 1000 mm de longueur je peux mettre 12 carrés de 80 mm. 12×80=960mm Il me reste 40 mm, donc 20 mm à mettre à droite et à gauche. Sur la hauteur : 4x80mm=320mm Il me reste 30 mm à répartir en haut et en bas.
Maintenant que l’enveloppe est déterminée, il faut placer les repères pour chaque image.
Les photos seront au format 40x60mm. Donc en portrait, vous aurez 10 mm en haut et en bas, et 20 mm à gauche et à droite. En paysage, c’est l’inverse. À gauche et à droite, 10 millimètres. En haut et en bas, 20 millimètres. Et bien, les autres repères à placer sont ceux qui vous permettront de placer précisément vos photos.
Gros plan de la position des repères pour positionner les photos.
Je dois vous avouer que la première fois, je les ai ajoutés un à un avec ma calculatrice.
Mais les repères ne seront pas imprimés. Comment savoir où plier et couper ? J’ai ajouté des tirets de 10 mm en haut, juste sur le repère, en haut et sur les côtés afin de matérialiser les pliures et les découpes.
C’est un peu de géométrie et de calcul, oui.
Mais avec une calculette, et un peu de soin, vous allez y arriver.
6. Direction : l’imprimeur.
Maintenant que votre fichier est prêt, c’est le moment de le confier à un imprimeur.
De mon côté je suis allé voir mon imprimeur habituel. Lors de votre choix, pensez aussi à l’aspect humain. Un petit laboratoire local, même s’il possède moins d’options, est plus à l’écoute et vous guidera si vous hésitez. Le net ne remplace pas le physique et le coup d’œil d’un professionnel.
Si vous décidez d’envoyer le fichier par Internet, assurez-vous de bien comprendre les recommandations techniques : résolution, format, fond et autres bidules… Pas en contact direct, vous risquez des déceptions.
Le papier utilisé est l’Hahnemühle Photo Matt Fibre 200g. J’avais un peu peur d’utiliser un papier plus épais. Et puis , ce n’est qu’un essai !
7. Le pliage
Quand vous récupérez votre tirage, ne sortez pas tout de suite le Cutter.
Prenez d’abord un moment pour vérifier les mesures, les marges. Posez votre règle et regardez si tout va bien. Vous pouvez encore vous rattraper si un repère n’est pas bien placé.
En premier, marquez les pliures doucement avec un objet fin mais non tranchant : le couteau à beurre fait très bien l’affaire. Le geste doit être léger, vous devez aplatir la fibre sans la déchirer. Pour information : j’ai utilisé un petit poinçon en le tenant très à plat. Même si le pli final sera dans l’autre sens, il est inutile de marquer les deux faces. Faites tous les plis sur la face avant. Je n’ai eu aucune difficulté à plier dans le sens opposé à la pliure initiale.
8. Ça va couper…
Une fois vos pliures marquées, il ne reste plus qu’à couper les bandes, puis à plier soigneusement votre leporello avec un plioir si besoin.
Prenez votre temps. Alignez bien les bords. Marquez chaque pli un à un.
Et voilà. Vous avez entre les mains un leporello fait maison. Un bel objet à montrer ou à offrir.
Les erreurs à éviter
Ce qui peut foirer
Vous pensez que le plus dur est fait ? Vous avez lu tous les points. Fastoche. Et bien non.
Les pièges se planquent un peu partout. Le genre de bêtise qu’on ne fait qu’une fois. Ou deux. (J’ai réussi trois, mais je suis un peu têtu.)
Et comme je tombe souvent dans tous les pièges tendus, je vous ai fait une petite liste.
C’est parti ? Go!
Erreurs classiques à éviter (et comment les contourner)
* Zapper la sélection des images et le séquençage Un leporello, ce n’est pas juste une suite de belles photos. C’est du séquençage. Je l’ai abordé dans le guide sur la street photo et peut être l’occasion de découvrir la scénographie d’une expo photo.
* Ne pas tester à l’imprimante Une simple impression A4 ou A3 peut sauver un projet. Et ça coûte moins cher que de découvrir le souci une fois le tirage pro entre les mains. Si le boulot est trop loin, vous avez certainement une Corep dans le coin.
* Oublier de vérifier ses calculs Je me suis vautré deux fois !
* Mal positionner ses repères dans Photoshop
Faites un tour dans la fenêtre Propriétés pour chaque image ou repère (position x,y). Vous allez y passer du temps, mais je suis certain que vous allez faire des corrections.
* Choisir du papier glacé Magnifique à plat, mais au premier pli : craquelures. J’ai fait le choix d’un papier Hahnemühle mat (c’était aussi le moins cher).
* Utiliser une règle trop courte Couper droit sur 100 cm avec une règle de 80, je l’ai fait : évitez ! Prévoyez l’outil qui va bien.
* Commencer par les pliures Si vous découpez votre leporello, vous n’aurez plus les repères de pliures. Ce serait ballot…
* Utiliser une règle sale Sur la mienne, il y a encore le prix en francs dessus ! Le plastique antidérapant est mort et laisse de jolies traces noires. Je devrais y penser pour mon anniversaire.
* Mal prévoir le transport Les impressions longues arrivent souvent roulées. Laissez-les reposer bien à plat avant de plier. Pensez à virer le chat.
* Avoir peur de se lancer Mon principal défaut. Attendre et regarder 10 fois si c’est OK, sans jamais expédier le tout. Faites-le. Même imparfait, un projet réalisé vaut mieux qu’un « on verra demain ».
* Exporter en basse résolution Le 72 dpi, c’est bien pour un site web. Le 300 dpi est au même prix. Pourquoi ne pas en profiter ? Chaque photo utilisée est issue d’une exportation au format 40x60mm et en 300 dpi.
* Mettre des traits de repère visibles Ne pas mettre des traits de découpe ou de pliage en plein milieu du leporello. Dans le cas contraire, vous les verrez apparaitre !
Conclusion
Et voilà, vous avez toutes les cartes en main pour transformer vos séries en un leporello. Entre l’étape de la sélection, les essais maison, le choix du format, la mise en page et l’angoisse du pliage et de la découpe, vous avez créé ce que j’appelle une « photo-objet ».
Si de légères imperfections subsistent, ne jetez rien à la poubelle. Ces petites marques racontent l’histoire de votre création et apportent une aura unique, loin du produit industriel. Le plus beau leporello est celui qui porte vos ajustements de dernière minute et votre patine personnelle.
Vous en avez déjà fait un ? Par pitié partagez vos remarques et vos petits trucs que tout le monde en profite.
Téléchargez gratuitement letemplate Photoshop (partie réservée aux abonnés) en vous inscrivant à la newsletter (le lien est dans tous les mails). Et dites-moi si cela fonctionne bien. Je suis pas très pro en Photoshop.
Partagez vos astuces ou vos galères dans les commentaires : plus on échange, plus on progresse.
Au fait, avez penser à le mettre dans une petite boite ou le protéger dans une pochette de papier cristal ? À moins que vous ne préfériez un bandeau de papier. Le déshabillage de votre leporello sera certainement le meilleur moment…
8 commentaires sur “Guide complet pour réaliser un leporello photo”
J’adore le conseil « Pensez à virer le chat ». 😀
J’ai déjà fait un leporello dans le cadre d’un atelier. Mais on nous l’a fait faire très artisanalement : on a amené nos photos déjà imprimées, on a constitué l’accordéon nous même en l’assemblant feuille par feuille et y en collant les photos une par une…
Du cousu-main assez long et un peu stressant, mais pas besoin de Photoshop ou autre : grande table, ciseaux, crayon, gomme, règle, colle, pinceau à colle, et pas mal de patience… J’avoue que si j’avais à le refaire, je repartirai sûrement sur la méthode proposée dans ton article.
Ouais, mon chat est terrible !
L’option «ciseaux» et «coller» ne m’emballait pas trop, même si je ne suis pas très habile avec Photoshop.
Avec cette méthode, on peut facilement en faire plusieurs versions ou simplement réutiliser le canevas.
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Du cousu-main assez long et un peu stressant, mais pas besoin de Photoshop ou autre : grande table, ciseaux, crayon, gomme, règle, colle, pinceau à colle, et pas mal de patience… J’avoue que si j’avais à le refaire, je repartirai sûrement sur la méthode proposée dans ton article.
Ouais, mon chat est terrible !
L’option «ciseaux» et «coller» ne m’emballait pas trop, même si je ne suis pas très habile avec Photoshop.
Avec cette méthode, on peut facilement en faire plusieurs versions ou simplement réutiliser le canevas.
Super ! Ça me donne le goût d’en faire un ça fit longtemps que je voulais le faire et je remettais toujours ça.Merci beaucoup
Voilà une occasion pour se lancer.
Go !
Super! merci beaucoup.
Super, n’hésitez pas à me faire part de vos astuces pour simplifier la tâche et améliorer le résultat…
Merci pour toutes ces infos … je vais me lancer
Top !
Bienvenue au club.
N’hésitez pas à partager vos découvertes et le fruit de votre travail.
Bon courage !